LaBranche est et la Branche ouest de la Petite-Cascapédia font partie de ces joyaux que les adeptes de la pêche à la mouche devraient découvrir. Assis sur un tronc d'arbre renversé le long de la rivière, je discutais de techniques de pêche avec David Bishop, le guide qui m'accompagnait. Soudain, de l'autre côté, un gobage discret La pêche en rivière est autorisée depuis le 10 mars et ce, jusqu'au 16 septembre 2018. Cette ouverture est l'occasion de revoir ses fondamentaux in situ ou à la maison. Nous avons aussi suivi des passionnés dans le Perche, dans le bassin de l'Huisne, un lieu très prisé des pêcheurs Apprendre à pêcher la truite sur le web Quand on recherche "pêche à la truite" sur un moteur de recherche, les premières réponses dévoilent toutes des conseils pour réussir "l'ouverture". Autrement dit, ces premières journées de reprises sont hautement importantes pour la suite. Toute une saison de pêche en dépend. Pour certains, rien ne vaut l'expérience mais quelques conseils ne peuvent pas nuire non plus alors ils proposent de passer en revue son matériel déjà fait tout l'hiver, non ?, d'observer avant de pêcher encore attendre ?! ou encore de pêcher à l'heure de midi pas de casse-croûte ?!?, des conseils qui peuvent paraître étranges, mais comme chacun est plutôt bien développé et argumenté il faut bien admettre qu'on se laisserait bien convaincre. D'autres sites web reprennent les bases de la pêche toujours une bonne idée ! en expliquant tous les différents types de pêche au posé, au toc, au vairon, .., bref, des conseils de pro. Mais il existe aussi les mêmes conseils pour pêcheurs la théorie, la pratique Quant à nous, nous avons suivi des pêcheurs pour leur pourrir leur week-end d'ouverture en leur imposant la présence d'une équipe télé en pleine communion avec la nature. Merci à Jérôme et Michel d'avoir partagé leur passion, au bord de l'Huisne ! L'association de la Haute vallée de l'Huisne encourage ses 400 membres à relâcher les poissons. Le but préserver au mieux la ressource. Les pêcheurs, soucieux de l'environnement, contribuent à l'aménagement des abords de la rivière et à l'entretien des 400 kilomètres de cours d'eau. Avec l'aide de l'Etat et des collectivités, ils restaurent les berges afin de recréer l'habitat naturel des truites. Reportage Sont interviewés Jérôme Touchar, Vice-pdt association Agréée Pêche et Protection Milieu Aquatique de la Haute vallée de l'Huisne /Michel Moulin secrétaire adjoint de l’association de pêche de la Haute Vallée de l’Huisne HVDH/ Emmanuel Plessis Technicien de rivière à l'agence de l'eau, Loire Bretagne et membre de l'HVDH Tensionsautour de Taïwan : l'île dit "se préparer à la guerre sans chercher la guerre" alors que Pékin commence ses exercices militaires À lire aussi de Chasse - Pêche 1 Chasse -
Une fermeture Inoubliable ! Il est des temps ou la pêche vous semble compliquée et d’autres ou elle vous semble évidente. Tout est réuni pour réussir cette fermeture, un temps de saison, une lune favorable, pas ou peu de vent, des eaux se rafraîchissant, quelques pluies précédant la sortie pour dynamiser la rivière et établir un niveau favorable pour la pêche et un pêcheur réceptif et prêt à profiter pleinement de cette situation. Un bon mois de septembre La saison de la pêche se termine et pour moi l’occasion d’honorer mes derniers clients et d’encadrer mes derniers stages en 1ère catégorie. Les sorties ont été rondement menées et les poissons de sortie nous ont comblés, que cela soit aux appâts naturels, à la mouche ou aux leurres. Rien de plus agréable que de joindre l’enseignement au plaisir de la capture pour le moniteur que je suis. Bien avantagé par ma présence régulière au bord de l’eau et témoin de cette belle activité, il n’en fallait pas plus pour me décider d’en profiter à mon tour. Nous sommes le lundi précédant le we de fermeture, je viens de terminer une journée de stage et il faut dire que le poisson est à la fenêtre depuis le matin, il me reste un peu de temps pour en profiter, donc direction la rivière sans tarder. Le choix du parcours est vite fait, juste choisir la zone qui n’a semble t’il pas été pêchée de la journée. Arrivé sur le coup, montage rapide de ma canne anglaise et de ma ligne aux appâts, placement adéquat, eschage d’un beau ver de terreau et c’est parti ! Comme souvent quand le poisson est en chasse, première dérive et première touche. Un arrêt net qui marquera un ferrage instinctif. Et voilà la première d’une belle série de poissons qui, pour mon bonheur, resteront à table jusqu’au soir. Au total, une bonne dizaine de captures avec pas mal de poissons dépassant largement les 30 centimètres. Un régal ! Même si la fatigue se fait sentir et les douleurs aiguës des efforts répétés de la saison mettent à mal mon corps, il y a des moments qui vous aident à oublier ses gênes. On approche doucement de la fermeture, espérons que le temps libre qu’il me reste pourra me permettre de vivre encore des moments sympas… Ma plus belle fermeture à ce jour ! Il ne reste que 3 jours de pêche avant la fermeture dimanche, la journée de stage de pêche à la mouche de la veille nous a bien réussie. Mon client a capturée une douzaine de truites sur gobages et termine la journée sur un poisson de plus de 40 centimètres, et ce malgré une montée d’eau régulière opacifiant le cours d’eau et un vent constant soufflant avec fortes rafales qui aura fait débouler branches et feuilles tout le long. Des conditions normalement pas géniales, mais l’apport de nombreuses mouches dérivant longuement sur l’eau auront eu l’avantage de changer la donne et de maintenir une belle activité de surface. En soirée, j’apprends que mon client du samedi ne pourra être présent, report étant programmé pour la saison prochaine. Voilà donc 72 heures de liberté à ma disposition pour bien terminer. 72 heures de pur bonheur ! Tout d’abord, après une bonne nuit de sommeil réparatrice, je me levais sans intention première. La saison des cèpes bat son plein et je me laisse tenter par une balade sur quelques coins pour voir s’il est possible de se passer l’envie et en ramasser quelque uns pour pouvoir les goûter. Pas trop de mal à en trouver au vu des articles parus dans les journaux, la pousse est là et des quantités importantes de bolets sont ramassés aux quatre coins du département. 4 kilos plus tard et le plaisir de la cueillette, je rentrais avec l’intention de finir ma journée par un coup de pêche à la mouche. J’arrive au bord de l’eau et déjà les mouches s’envolent au travers de la rivière, les éclosions d’ephemerella ignita et de baetis ont démarré, la partie de pêche s’annonce favorablement. Je choisi de tenter la belle plutôt que de chercher le nombre en venant sur ce cours d’eau. En cette fin de saison, les poissons sont discrets et se méfient de tout ce qui flotte, peut être qu’il faudra d’ailleurs pêcher sous l’eau… La première zone de pêche m’aura gratifié d’une belle capture avec une truite mesurée à 54 centimètres ce qui est au delà de la moyenne de la rivière. Une capture sur gobage qui donne toujours autant de joie et un joli pliage de carbone en plein jus pour un combat indécis. Après ce joli coup de ligne s’en suivit, quelques instants plus tard, une casse sur chandelle sur un coup de pêche en nymphe à vue et deux autres poissons fuyants ma présence. Un bon début, les truites semblent plutôt en position. La deuxième zone, bien que peignée méticuleusement, ne m’aura rien rapporté, certainement qu’elles avaient du être pêchées juste avant. La troisième secteur, je le visiterai au coup du soir. Les petites olives à ailes bleues défilent de manière éparse mais suffisamment pour placer les poissons en surface. D’ailleurs, j’attaquerai rapidement un poisson actif. Placé le long de la berge dans peu d’eau, il gobe en toute discrétion. Difficulté, il se trouve sur mon lancé revers et s’est placé sous des branches basses qui surplombent la rivière d’un petit mètre. Le coup n’est pas facile mais pas impossible. Après avoir réalisé tous les réglages, c’est parti ! Premier lancé et posé sur son museau, extra ! Sans réfléchir, il monte son menton nonchalamment et “clouc”, dans si peu de courant, il faut habituellement retarder le ferrage et s’assurer que le poisson ait bien refermé la bouche et effectué la bascule, mais là, sa réaction a été instantanée, le goût de l’hameçon ou la préhension du nylon ne lui ont pas plu du tout, remous de fuite dans le dixième de seconde qui suivi pour lui et ferrage dans le vide suivi d’un râle pour moi. Ainsi va la pêche, j’aurai pu au moins admirer ce poisson sur son travers dans sa fuite fulgurante, un beau 55+ qui m’aura fait vivre encore un beau moment. Plus en amont, je calerai un poisson et réussirai à prendre une autre belle truite de 50 centimètres. Un bilan honorable pour qui se destine à traquer la belle truite. Journée de samedi Changement de rivière et arrivée au bord de l’eau vers 9h. Il fait frisquet, programme, pêche aux appâts naturels en dérive. Peu de touches sur le premier secteur certainement un peu trop encaissé. Changement de zone pour rejoindre la rivière sur une partie plus ouverte et fonds de galets. Petit coup d’œil pour voir si la grosse du pool dans la retourne est en place et éventuellement la tenter en nymphe à vue, dégun, avec ce niveau bas, les courants ont changé, elle préfère certainement stationner en profondeur dans les nombreux blocs. Continuons aux appâts vivants alors…, premier poste, une veine d’eau rectiligne et peu profonde d’une cinquantaine de mètres de long. Les poissons sont maintenant actifs et le coup se soldera par une demi douzaine de captures et la prise d’un poisson de plus de 40 centimètres suivi d’un de près de 50 centimètres d’une robe magnifique, je décide de le photographier, il est dans l’épuisette posé dans l’eau, mais au moment de le prendre, défait de sa ligne, il s’enfuit sans passer par la case portrait… Tans pis pour le souvenir. Suite de la partie de pêche et après un long moment sans toucher de truite, je réussi à ferrer dans une fosse un autre beau poisson, Un joli combat puis mise à l’épuisette de cette truite de 50. Voilà dans mes mains un vrai lingot d’or, un de ces poissons à la beauté unique qui est capable de rendre dingue chaque pêcheur de truite et qui nous amène à retourner à la pêche encore et encore pour revivre de tels moments. Matinée terminée, je retrouve comme convenu mon père pour partager ensemble la pause déjeuner dans une auberge du coin. Menu champêtre et compte rendu de la matinée, il voit bien que je suis déjà heureux et comblé de ma journée, je sens que ça lui démange et vu que rien ne laisse présager une baisse d’activité, nous sortons de table confiants. Il me laisse choisir la zone de pêche, j’ai ma petite idée, une zone que j’affectionne et qui a rapporté quelques belles captures à mon client de lundi dernier. Sur place, la partie de pêche démarre tranquillement et je touche les premières truites sur l’arrivée. Période de digestion pour moi, toutes ne seront pas piquées par manque de réactivité. Puis vint la première surprise, voilà mon père attelé, la canne cintrée et une masse lourde au bout, un joli poisson qui sonde puissamment. Je le rejoins et sort mon appareil photo. Premiers signes de faiblesse et la masse sort petit à petit des profondeurs après avoir balayé le trou sur une dizaine de mètres. On reconnait alors un saumon atlantique, belle surprise ! Pas fréquent d’en toucher aux appâts naturels en pêchant en dérive, mais le deuxième tout de même en cette année si l’on compte celui touché un mois plus tôt et que j’ai tenu pendant 10 minutes avant rupture. Après un combat bien mené, il est enfin échoué sur un fond de gravier immergé, verdict, un saumon de toute beauté mesuré à 73 centimètres. Photos puis remise à l’eau pour ce joli coup de ligne imprévu. Il faudra un petit moment pour laisser tomber l’euphorie, nous voilà de nouveau en place, 5 minutes passent, je rate une nouvelle truite, râle, tourne la tête et… Mon père de nouveau pendu, la même image que précédemment ! Arf ! Pas de doute, c’en est un second… Même combat un peu plus appuyé cette fois pour réduire le temps de combat, le poisson se laisse bien manœuvrer, il est du même acabit. Le poisson montre ses flancs et au moment de l’échouer, se débat, s’appui sur le fond, sort son tronc de l’eau, secoue la tête et réussi à se libérer. Mon père n’est pas malheureux à la fuite du poisson mais accuse physiquement du bras après deux combats intenses et inattendus en moins de quinze minutes… Quelle émotion ! Je le félicite et je me remets à pêcher en pensant à ces moments incroyables, et puis… A mon tour de me retrouver pendu, encore un ! Plus modeste, je l’amènerai rapidement sur le bord. Un petit castillon d’à peine 60 centimètres qui sera vite relâché. C’est fou ce qui nous arrive ! Dix minutes plus tard et quelques coulées plus bas, un bel arrêt dans la fosse sous plus de 2 mètres d’eau. Ferrage, et comme l’impression d’être accroché au fond sauf que ça se déplace, pas de doute, c’est du sérieux ! Travail appuyé en mettant à contribution le nerf de ma canne Feather Weight de chez Pezon et Michel, elle ne m’a jamais déçu jusque là mais le “client” est tout autre cette fois…Sans nul doute, un saumon bien plus joli, reconnaissable aux coups de tête axés vers le bas qu’il imprime lors du combat. L’action de pointe de ma canne est un atout pour venir à bout de ce spécimen et tenter de le fatiguer. Le voilà enfin sous ma canne, je le fais glisser dans une flaque et le saisis par la queue, YES ! Un magnifique saumon qui accuse 80 centimètres au ruban, splendide !! Photos puis relâche. Inutile de vous dire que nous sommes deux pêcheurs heureux d’avoir connu de tels moments. Nous décidons de laisser tranquille la zone et de remonter en amont histoire de ne pas se retrouver une nouvelle fois pendus à salmo salar vu que nous sommes sur la remontée. Une dizaine de kilomètres plus haut, remis de nos émotions, nous voilà sur un nouveau secteur. Il nous reste une bonne heure avant de rentrer, ce soir l’équipe de France affronte l’Italie pour son entrée en coupe du monde de rugby. Le temps passe mais il y a encore le temps d’en profiter… Le niveau est parfait pour ce poste, pas de raison que l’on ne continue pas à père choisi la tête du coup et moi le cassant plus en aval. Je prends vite une petite truite, puis une autre de 40 centimètres et en suivant me fais traîner 2 secondes par un joli poisson qui se dépique. Les beaux poissons sont de sortie ici aussi… Je m’applique, refait mon montage un peu fatigué des épreuves précédentes, ajuste la plombée, enfile un ver bien mouvant et hop ! Ça dérive bien, et pile poil au moment prévu, la touche. Et encore du lourd, même pas bougé le menton malgré le ferrage sec. J’en reviens pas, je me tourne vers mon père qui n’en revient pas lui non plus et je lui dis “je crois que je tiens le numéro 5”. Invraisemblable !Celui-là, il a de l’espace et démarre sans retenue. Il me fait dévaler sur cinquante mètres pour me montrer son énergie, j’arrive à le suivre, il remonte à sa place initiale, je l’accompagne, jusqu’à prendre le dessus et le ramener à moi. Il abdique, je le saisis, et laisse exploser ma joie ! Quel fish ! Encore un splendide poisson, le plus vaillant de la journée, magnifique ! Mon père filme l’instant, quels moments de partage ! il affiche 75 centimètres, il repart sans faiblesse malgré un combat plus long que précédemment. Il est temps pour moi de laisser pêcher mon père qui s’était arrêté vu le remue ménage et de savourer le moment. On vit un rêve !Fin de la journée et quelle journée ! Si riche en intensité et en magnifiques captures ! Grisant ! Journée de dimanche Ça coince un peu ce matin au lever, mais l’envie de profiter de cette dernière journée est bien présente. Remis doucement de ce samedi extraordinaire, j’essaye de réfléchir à la pêche du jour plutôt que de basculer dans le souvenir de la veille. J’ai ma petite idée sur la zone à prospecter vu les conditions et le niveau. Pas de vent et une eau juste mâchée, encourageant pour réussir une pêche en dérive, vu que ça réussit bien en ce moment ! Pour commencer, je pêche une première veine d’eau qui m’a déjà rapporté de nombreuses captures mais sans succès, juste un petit arrêt furtif mais inférrable. Aie ! Ça sent la pêche compliquée… Deuxième secteur, une belle veine d’eau principale mélangée à d’autres veines qui viennent la croiser et des profondeurs très variantes en raison de la présence de nombreuses banquises de roche mère placées en travers. Un secteur technique mais qui a l’avantage d’offrir de nombreux postes à truites. Sur ce coup habituellement prolifique, j’ajuste mes réglages profondeur + plombée et entame une première dérive, le poste de chasse est situé face à moi, si la place est occupée, je devrai avoir un signal maintenant ! Et le signal se manifesta à l’endroit exact, voilà à quoi sert le retour d’ pour “serrer” la truite et combat de fuite s’en suit, et ce qui devait arriver arriva, cette belle de 50 que j’avais bien négocié et ramené aux abords de mon épuisette trouva la ressource nécessaire pour tenter un dernier rush et sous la pression, ma ligne se brisa. Déjà pendant le combat, je pensais à ma négligence, ne pas avoir refait le montage alors que la ligne avait subi la veille un sérieux test avec le dernier saumon de la journée, et bien mon 12/00 ne résista pas à un deuxième combat appuyé. Toujours apprendre de ses erreurs, et en tenir compte ! Heureusement, le poste plus en aval souvent occupé lui aussi me permit de capturer une fario plus modeste. Suivi plus tard par une truite d’une trentaine et de nouveaux des touches “gratouillis” que je ne pus réussir à ferrer, puis une casse inexpliquée sur ferrage. Et comme souvent sur cette rivière, le poisson ne revient pas une deuxième fois, signe de la complexité pour réussir sur ce cours d’eau où la défiance de la truite est particulièrement élevée. Fin de la matinée. Après manger, mon père passe à la maison, il est en avance sur son timing, pressé de pêcher. Je lui compte ma matinée puis arrive la question “qu’est ce que tu fais cet apm?”. Ben je fais la fermeture bien sûr ! Et nous voilà reparti ensemble. Nous retournerons sur la même rivière que la veille, cette fois plus en amont. Arrivé au bord de l’eau, l’eau est légèrement piquée comme la veille, le niveau est bon, la pêche commence. Nombre de pêcheurs sont passés là vu les traces laissées en berge. Et la pêche s’en ressent, les veines centrales ne donnent rien et les quelques touches et modestes captures, nous les réalisons sur la berge d’en face. Mon père remonte et moi je prends le parcours en descendant. Ce parcours, nous l’avions pêché un mois plus tôt avec réussite. J’avais même touché un poisson énorme estimé à 70 centimètres mais mon 10/00 n’avait pas fait le poids ce jour là face à cette truite gargantuesque. Je lui rappelle la zone où je l’avais piqué, une cinquantaine de mètres en amont de sa position à l’extérieur opposé d’un grand bloc central. Et nous nous séparons. La pêche est difficile pour moi, peu de touches et de que des petits poissons, la descente, bien souvent meilleure en terme de rendement, m’aura déçu et laissé sur ma faim. Entre temps, vu la distance qui nous séparait, j’avais entendu un vague grognement du côté de mon père, je remonte les 300 mètres et retourne auprès de lui. Et arrivé à ces côtés, il me dit “je l’ai touché ta truite, une fois piquée, elle est revenu sur moi comme un train, deux chandelles et décrochée ! Elle est énorme !”. Résultat, famille Armand 0 – Truite de 70 2. On gagne pas à tous les coups ! On décide de changer de zone vu que le secteur a été bien piétiné. Mais avant ça, je suis tenté par mettre un petit coup de ligne autour de ce gros bloc si prometteur. Je passe bien mais rien, puis je me place deux mètres plus haut, allonge la distance, passage au ras des blocs opposés et arrêt. Je réagis et de nouveau un lourd poisson de piqué, quelques gros coups de tête s’en suivent. J’appelle mon père qui est en train de plier “tu ne vas pas me croire mais je crois que j’ai encore attelé un saumon…”. Bien maintenue sous la canne, je le ramène à moi assez facilement, et lors du passage en hauteur sur une roche plus claire posée au fond, je vois mon saumon modeste accompagné d’un autre plus gros en profondeur, c’est fou ! En plus de toucher des belles truites, nous voilà abonnés aux saumons, incroyable, le rêve continue ! Une nouvelle prise autour des 67/68 centimètres qui retournera dans son élément. Nouvelle zone de pêche, nouvelle histoire. Le coup est assez difficile à pêcher vu la profondeur et un courant de fond qui “souffle” notre ligne. Pas évident de bien passer mais sur ces postes, si le pêcheur arrive à comprendre la coulée et à adapter son montage, les poissons qui sont au fond sont souvent jolis et coopératifs, reste la difficulté et le temps pour tout mettre en oeuvre et réaliser le bon passage. Mon père préfèrera l’aval avec une zone plus favorable et où le courant tord moins la ligne. Je touche vite une petite truite, puis en rate une autre et enfin en capture une jolie. Mon père idem. Puis jaillit un “oh oh”, je tourne le regard vers mon père, et bien voila t’il pas qu’il est de nouveau aux prises avec un salmo-salar. Celui-ci sonde, remonte puissamment et…, se décroche en surface après quelques minutes de combat, encore un beau spécimen estimé à plus de 70 centimètres. Vraiment un truc de dingue, c’est étrange cette impression que où que nous allions, nous aurons affaire aux salmo-salar. Pour cette dernière de la saison, mon père qui aime bien manger de temps en temps son poisson, décide de remonter faire les courants peu profonds situés en amont du pool et tenter d’attraper quelques truites pour le dîner. Au moins là, presque sûr de ne pas tomber sur le roi des gaves. Pour ma part, je continue de peigner la fosse, le courant d’entrée mérite ma visite d’ vois que ça se passe bien pour mon père placé dans les rapes deux cent mètres plus haut, il tient une jolie truite à la vue des éclaboussures qu’elle génère lors du combat. Celle-là ne finira pas dans son panier puisqu’elle se mon tour de voir si le coup de l’arrivée peut être payant. Première coulée et première prise, une truite d’une vingtaine. Deuxième coulée et nouvelle touche, un poisson plus joli à la robe sombre parsemée de gros points noirs, belle élégance pour cette truite. Troisième coulée et une décroche d’un poisson semble t’il assez joli vu le départ. Puis une autre touche plus subtile et un poisson que je ne réussirai pas à prendre au final ; je me laisse glisser vers l’aval pour bien couvrir le poste en Y, réunion de deux courants à l’entrée de la fosse. Une branche est bloquée sous un roc et rend le passage dangereux mais je tente quand même. Posé ok, coulée ok, présentation ok et touche ! Piqué ! Et de nouveau du lourd, un poisson qui sonde et se rapproche de l’embâcle, je tente le tout pour le tout et essaye de le bloquer puis de le désaxer pour éviter la casse. Je sens que le fil est en limite de rupture mais ça tient, il abdique et se tourne pour descendre dans la fosse, là j’aurai le dessus pour le manœuvrer plus en douceur, pas de doute, voilà un énième saumon. Je réussi à l’échouer après un combat que je croyais perdu, belle satisfaction, il est superbe et, à la vue de sa robe plus rougeoyante, a séjourné plus longtemps dans la rivière que ses congénères fraîchement remontés. Je sors l’appareil photo pour immortaliser le moment et le relâche, encore un bon 70 je présume. Le pêcheur au Tenkara situé en face et qui a assisté à la scène me félicite en m’applaudissant. Je le remercie en lui faisant journée est encore bien remplie en événements, tout autant que la veille je dirai. Je décide de lever le pied et de laisser tranquille les poissons du pool. Il reste un peu de temps avant l’heure de fin programmée avec mon paternel, je descends vers la voiture et sur le retour, constate que les truites commencent à moucher. Mon fouet n’aura pas fait le déplacement pour rien, je finirai cette journée par quelques lancés et deux petites truites de plus capturées. J’ai bien repéré des poissons plus gros et actifs mais il est temps de les laisser tranquille, je sors de l’eau, clap de fin, il est temps de fermer » pour cette saison et d’aller se reposer. Je retrouve mon père au point de rendez-vous fixé en amont. Lui aussi semble comblé et rassasié, il a capturé de nombreuses truites et en a gardé 4 truites pour finir qu’il mangera ce soir avec ma mère, comme pour honorer et fêter cette fermeture. Nous faisons le compte, au-delà des nombreuses truites touchées, au total sur les deux après-midi passées ensemble, nous aurons touché 8 saumons en recherchant la truite surréaliste ! Les chutes de pluie des jours précédents, les montées d’eau qui s’en suivirent et le rafraîchissement associé auront certainement contribué à faire bouger les saumons dans leur migration vers les zones de frayères. Maintenant, espérons que l’épisode de reproduction à venir se passe au mieux pour eux et les truites, sans connaître de crues exceptionnelles comme on en observent malheureusement trop régulièrement ces dernières années… Voilà le récit de cette fermeture hors du commun, des journées bénies des dieux et une fermeture en fanfare ! Vu son lot d’émotions, de quoi attendre patiemment la saison prochaine… Au plaisir de vous croiser. Lionel ARMAND
Janu. La pêche à la mouche flottante de la truite de mer, très fréquente outre-Manche et en Islande, est marginale dans nos contrées et nécessite des conditions très particulières. C’est justement pour profiter de ces moments rares le soir au bord de l'Arques et de ses affluents, qu’Éric Pigault a créé la Catsedge.
Tout est à peu près dans le titre.. En gros je suis maintenant en Eure-et-loir loin 5h30 de mes rivières finistériennes préférées, et je me demandais où aller maintenant dans un rayon de moins de 5h de route autour de Chartres? Sachant que je recherche exclusivement de la fario, et idéalement petites à moyennes rivières des petits ruisseaux jusqu'à une rivière de la taille de l'Odet dans le 29 pour ceux qui connaissent.. Si vous avez des suggestions! /\ JE NE CHERCHE PAS DE SPOT PRÉCIS /\ _________________ Groupes 1 Tiens Alex, pour te faire baver sur le Finistère, après une séance infructueuse la semaine précédente, j'ai touché 5 brochets dans ton coin favori le vendredi après-midi précédent la fermeture ! 2 décrochés et 3 capturés et bien sûr relâchés pas de gros, 65 cm max. Bonne chance dans ta quête d'un nouveau paradis C'est sûr que tu auras moins de première catégorie mais j'avais un copain qui pêchait à la mouche l'Huine dont il m'a venté les truites et les ombres. C'est sûr que ce ne sont pas les Abers Dernière modification par Elorn29N 2 fév 2017 - 1842_________________ Préserver pour ne pas avoir à réparer ! JédaPosts 85Pertinence Groupes 1 J'ai eu l'occasion de mouiller 2-3 sèches sur l'Huisne du côté de Remalard. J'ai fais une paire de poissons. Rien de monstrueux Ça reste une jolie rivière pour le secteur avec de belles farios. + Elorn29N a écrit Tiens Alex, pour te faire baver sur le Finistère, après une séance infructueuse la semaine précédente, j'ai touché 5 brochets dans ton coin favori le vendredi après-midi précédent la fermeture ! 2 décrochés et 3 capturés et bien sûr relâchés pas de gros, 65 cm max. Bonne chance dans ta quête d'un nouveau paradis C'est sûr que tu auras moins de première catégorie mais j'avais un copain qui pêchait à la mouche l'Huine dont il m'a venté les truites et les ombres. C'est sûr que ce ne sont pas les Abers lol Haha oui mais je compte bien y retourner régulierement Mais ça me manque un peu quand même d'habiter à proximité de quasiment toutes les espèces.. Mais quite à faire 5h de route j'aimerai bien découvrir de nouveaux coins! Pour l'Huisne oui j'ai aussi entendu parler, la normandie à l'aire intéressante mais ressemble peut être un peu à la Bretagne! Je pensais viser plus au sud, vers Clermont voire en Lozère, mais pour moi le centre de la France est assez vague comme je ne connais pas.. _________________ JédaPosts 85Pertinence Groupes 1 J'ai habité quelques années dans le Loiret et j'ai sillonné également le Loir et Cher et le Cher. Ces 3 départements de la région Centre Val de Loire offrent de superbes terrains de jeux la Loire, le Cher... mais niveau premières catégories c'est pas terrible. J'allais sur l'Yonne dans le département portant le même nom. La rivière est sympa et ces populations de fario aussi ! N'hésite pas si tu veux deux trois infos ! Par contre, peut être loin de Chartres. Raf78Posts 568Pertinence Groupes 1 Le 28 et le 72, c'est déjà pas mal ! Regarde du côté de la Manche 50 sinon, ya des rivières sympas, Et tu peux te faire la Touques dans le 14 sur le même week-end; Groupes 1 La Touques dans le 61 mp si tu veux plus d'infos, l'Iton, l'Huisne. Tu as déjà de quoi faire. Un peu plus loin tu as également la Suisse normande. ça ressemble beaucoup à l'Auvergne mp si tu veux plus d'infos. A + ObamoPosts 698Pertinence Groupes 4 En plus de la touques, dans le 61, tu as la charentonne, très peu pêchée, assez variée, de belles farios et de gros chubs et de belles perches sur les parcours plus calmes. J'y péchais à la frontière du 61 et du 27 pour situer un peu. _________________ Raf78 a écrit Le 28 et le 72, c'est déjà pas mal ! Regarde du côté de la Manche 50 sinon, ya des rivières sympas, Et tu peux te faire la Touques dans le 14 sur le même week-end; Le 28, en tout cas là où je suis Auneau c'est vraiment pas terrible.. Le 72 j'ai jamais testé! Pour le 61 je vais jeter un oeuil sur le net voir à quoi ressemble la Touque! _________________ Raf78Posts 568Pertinence Groupes 1 Alex29190 a écrit Raf78 a écrit Le 28 et le 72, c'est déjà pas mal ! Regarde du côté de la Manche 50 sinon, ya des rivières sympas, Et tu peux te faire la Touques dans le 14 sur le même week-end; Le 28, en tout cas là où je suis Auneau c'est vraiment pas terrible.. Le 72 j'ai jamais testé! Pour le 61 je vais jeter un oeuil sur le net voir à quoi ressemble la Touque! Haaa, c'est certains qu'autour d'Auneau/Chartres, pour la truite, c'est mort.. Mais jette un coup d'oeil entre Souancé au Perche, Trizay et Nogent Le Rotrou, Et entre Condé s/Huisne, Nogent, Rémalard. Ya de quoi faire pour la truite à 1h de route de chez toi avec des coins vraiment sympas. En plus, c'est tout réciprocitaire. Attention quand même à l'huisne ; elle passe en 2è cat avant d'entrer dans Nogent. Donc pas de leurres avant le 1er mai. Mais en amont c'est de la 1ère, et les autres ruisseaux sont aussi de la 1ère. infos sur les sites des appmaa de Nogent et de Condé Groupes 1 L'Huisne, même s'il y a de très grosses truites, j'ai vraiment pas accroché pour les quelques fois où j'y suis allé. Souvent très calme, voire vaseuse et pas toujours très jolie ... Pour les rivières normandes il faut différencier les rivières calcaires Huisne, Touques, Risle, Iton, etc. des rivières granitiques Suisse normande = Orne et ses affluents. Les 2 types sont très intéressants mais les premières peuvent être assez tardives comparé aux secondes. Autour d'Auneau c'est sur que niveau pêche c'est chaud! Pour la truite dans le Loir et Cher aux alentour de Vendôme tu as pas mal de petite rivières de 1ere catégorie, regarde sur le guide de la fédération du 41. Sinon pour le sud du 28 tu as l'Aigre et l'Yerre en 1ere catégorie mais niveau truites ce n'est pas la folie. Bonnes recherches Matthieu Raf78Posts 568Pertinence Groupes 1 Aller pêcher l'Yerre spécialement à la recherche de la truite, faut être motivé Désolé, un peu occupé ces temps si avec l'arrivée d'un nouveau chien à la maison, j'ai pas eu le temps de venir sur le forum ^^ Oui j'avais lu que l'huisne et vers Nogent ça avait l'air intéressant! Après pour les rivières calcaire/granitique, j'imagine que les granitiques doivent pas mal ressembler à celle en Bretagne? Je pense que j'irai sur l'huisne faire un tour! Après pour l'ouverture je sais pas encore si je prendrai "le risque" de la faire sur un endroit que je ne connais absolument pas ou si j'irai jusqu'en Bretagne pour "assurer le coup" haha _________________ Groupes 1 Pour les rivières granitiques, je suppose que c'est un peu comme en Bretagne. Si tu connais l'Auvergne c'est du même style. C'est souvent très beau et beaucoup de poissons entre 18 et 25 cm. Si tu veux vraiment te faire plaisir la Touques dans le 61 est TRES poissonneuse. Beaucoup plus capricieuse et difficile dans le 14 ... la forte présence des Truites de mer n'y est certainement pas étrangère. Par contre, comme partout sur cette rivière, il faut bien être attentif aux panneaux qui indiquent les limites des parcours gérés par des AAPPMA. Quelques liens qui vont peut être t'aider Rivière assez précoce dans le secteur. Rivière poissonneuse mais capricieuse. Sur un coup d'eau ça peut être dingue comme sur les autres rivières granitiques de Suisse normande. A + Merci pour les liens! Je vais checker ça! Quand tu dis de faire attention aux panneaux des AAPPMA, c'est parce qu'elles sont non-réciprocitaires? Parce que je compte prendre l'EGHO. _________________ Groupes 1 Citation Quand tu dis de faire attention aux panneaux des AAPPMA, c'est parce qu'elles sont non-réciprocitaires? Parce que je compte prendre l'EGHO. Les 3 AAPPMA qui gèrent la Touques sont dans l'EGHO ce n'est pas forcément le cas sur les autres rivières sauf sur l'Huisne je crois. Mais disons qu'en Basse Normandie, d'une manière générale, la notion de propriété privée est très présente ce qui signifie que les parcours peuvent être morcelés. Mais sur la Touques, en dehors de quelques parcours spécifiques mouches, les baux de pêche AAPPMA sont tous de même assez longs. Le pancartage sur place et les franchissements de clôture en V béton indiquent clairement les accès. De toute façon, il va falloir que tu testes plusieurs rivières pour te faire une idée de ce qui te plaît. Février est un bon mois pour faire du repérage. Alex29190 a écrit Tout est à peu près dans le titre.. En gros je suis maintenant en Eure-et-loir loin 5h30 de mes rivières finistériennes préférées, et je me demandais où aller maintenant dans un rayon de moins de 5h de route autour de Chartres? Sachant que je recherche exclusivement de la fario, et idéalement petites à moyennes rivières des petits ruisseaux jusqu'à une rivière de la taille de l'Odet dans le 29 pour ceux qui connaissent.. Si vous avez des suggestions! /\ JE NE CHERCHE PAS DE SPOT PRÉCIS /\ En Eure et loir il a peu de cours d'eau en 1ere catégorie elles sont dans le sud vers Cloyes, Chateaudun nord Dreux Anet ouest Nogent le Rotrou pour avoir la carte des cours d'eau allez sur la site de fédération, ou rendez vous chez un dépositaire chercher le fascicule 2017 vous aurez tous les renseignements BIDOUILLE a écrit Alex29190 a écrit Tout est à peu près dans le titre.. En gros je suis maintenant en Eure-et-loir loin 5h30 de mes rivières finistériennes préférées, et je me demandais où aller maintenant dans un rayon de moins de 5h de route autour de Chartres? Sachant que je recherche exclusivement de la fario, et idéalement petites à moyennes rivières des petits ruisseaux jusqu'à une rivière de la taille de l'Odet dans le 29 pour ceux qui connaissent.. Si vous avez des suggestions! /\ JE NE CHERCHE PAS DE SPOT PRÉCIS /\ pour avoir la carte des cours d'eau allez sur la site de fédération, ou rendez vous chez un dépositairevalable pour tous les départements Alex, attention si vous allez pêcher dans le 61 il y a 3 aappm non réciprocitaires Ste Gauburge-Ste Colombe aappma La Gaule Amicale Risloise L'Aigle aappma L'hameçon Rislois Préaux du Perche aappma la Truite Préalienne....Syndicat Propriétaire Riverain dans le 72 à FLEE aappma La Truite Dinan,taise de Flee même avec la Carte inter fédérale, vous ne pouvez pêcher dans ces aappma. signié Un breton de Côtes du Nord, expatrié en Beauce comme vous, mais depuis 50 ans cordialement Dernière modification par BIDOUILLE 27 mar 2018 - 1331
Anciennetechnique, la pêche au cadre remonte à des décennies et a été conçue en Suisse. Toujours exercée, surtout sur le lac Léman, elle s’est propagée en France. Ainsi, dans l’Ain et la Haute-Savoie, beaucoup de pêcheurs pratiquent la pêche au cadre. Le cadre représente un rectangle de bois employé à la place d’un moulinet : tout autour []

Description Ce très beau département enchâssé entre la Méditerranée et les Pyrénées nous offre un terrain de jeu merveilleux pour les pêcheurs sportifs amoureux de la nature et à la recherche de belles truites de souche. Je vous emmènerai pêcher les plus beaux coins de la région sur les quatre fleuves côtiers et leurs affluents. Informations sur votre guide Emmanuel Guide de pêche diplômé d'état, hydrobiologiste étude des écosystèmes aquatiques, botaniste et naturaliste de formation, je vous transmettrai mon expérience et mes connaissances des milieux autour de mes parcours préférés. Originaire de l'Auvergne j'ai arpenté nombre de rivières de France et de l'étranger et j'ai fini par m'installer dans le magnifique département des Pyrénées-orientales pour la diversité de ses paysages et son côté sauvage. Pour les débutants comme pour les plus confirmés je mettrai tout en oeuvre pour partager les sensations qui me font vibrer depuis tant d'années. Langues parlées Français, Anglais Le programme détaillé Je vous propose de venir découvrir les magnifiques rivières des Pyrénées-Orientales lors de séjours sur mesures où je m'efforcerai de répondre à toutes vos attentes. Vous vous mesurerez aux belles truites farouches de souche méditerranéenne. Nous aborderons tous les aspects de la pêche à la mouche Les milieux - Observation et compréhension de l'écosystème - Reconnaissance des insectes et des plantes - Lecture de l'eau, tenue des poissons - Moeurs et biologie de la truite - Observation des éclosions - Adaptations aux conditions climatiques et environnementales La technique - Connaissance du matériel - Lancers droit, revers, roulé... - Placement et discrétion - Choix de la mouche - Bas de ligne à noeud - Montage de mouches - Les différentes pêches sèche, noyée, nymphe, streamer - Le poser, l'arracher,le mending, les dérives, le ferrage La pêche se pratique en no kill tous les poissons pêchés sont relâchés et les hameçons sont sans ardillon. Les rivières françaises en général sont soumises à de nombreuses agressions dues aux activités humaines pollution, urbanisation... et les populations de truites sauvages sont en régression. Nous avons encore la chance d'avoir de belles rivières sauvages où la truite se reproduit naturellement. Il est de notre devoir de les préserver et donc de remettre délicatement ces magnifiques poissons dans leur milieu naturel. Informations supplémentaires TARIFS Journée 1 personne 250€ 2 à 4 personnes 130€/pers Repas en supplément 13€/pers

Àl’occasion de l’ouverture de la pêche, pourquoi ne pas essayer ce sport qui, à condition d’être pratiqué en douceur, met le pêcheur en harmonie avec la nature.

19,95€ Auteur Charles GaidyLa truite de rivière a toujours fasciné le pêcheur. Et le pêcheur de truite a toujours été considéré comme un grand pêcheur. Grâce à cet ouvrage, le lecteur apprendra à mieux connaître cette reine des salmonidés qu’est la truite de rivière. Il découvrira son cycle de vie, les différents types de cours d’eau qui l’hébergent, les tenues de la truite ainsi que son comportement en quête de nourriture; il apprendra à identifier les différents insectes aquatiques et autres proies qu’elle chasse. Enfin, l’ouvrage abordera les techniques de pêche la mouche sèche, la mouche noyée, la nymphe et les mouches leurres et le matériel adapté. Télécharger la couverture en HD Infos techniques Informations complémentairesPoids446 gDate de parution30 avril 2013ReliureCartonnéFormat mm145×210Pagination160ISBN9782351910870Vous aimerez peut-être aussi… Monter des mouches comme un proBarry Ord Clarke 35,00€ Auteur Barry Ord ClarkeTechniques et modèles indispensablesCe livre s’adresse à tous les pêcheurs à la mouche et tous les monteurs — débutants ou non — qui veulent réussir des mouches artificielles parfaites et très efficaces en action de pêche. On croit souvent maitriser des techniques, mais les monteurs professionnels viennent heureusement démentir cette impression. C’est le cas de Barry Ord Clarke qui, en 28 modèles du monde entier, essentiels pour la truite et l’ombre, révèle tout son savoir-faire et ses secrets, sa parfaite connaissance des matériaux et des techniques, bref une véritable science acquise en 50 ans de pratique, le tout servi par ses excellentes photos et des codes QR permettant d’accéder aux vidéos YouTube de l’auteur. Télécharger la couverture en HD Ajouter au panier Monter des mouches en CDCLeon Links 29,95€ Auteur Leon LinksConnue dans le Jura suisse depuis près de cent ans, la plume de croupion de canard CDC s’est imposée dans les boîtes des pêcheurs du monde entier dans la dernière décennie du XXe siècle. Le Néerlandais Leon Links a justement rencontré les plus grands pêcheurs et spécialistes des mouches en CDC en Suisse, en France, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, au Japon ou aux États-Unis pour signer la première monographie consacrée à cette plume extraordinaire, enfin disponible en langue française. Télécharger la couverture en HD Ajouter au panier Le grand livre des mouches à truitesLeon Janssen 39,00€ Auteur Leon JanssenCe livre très complet, magnifiquement illustré de photographies et de dessins, montre toute l’étendue des connaissances de l’auteur en matière de pêche. A chaque saison correspondent les mouches les mieux adaptées à la météo et à la période les modèles ressemblent parfaitement aux insectes qui, à ce moment-là, se trouvent sur l’eau et permettent les plus belles prises. L’auteur décrit à chaque fois la meilleure mouche pour chaque espèce de poisson et nous révèle ses astuces et ses techniques de montage et de livre ravira les débutants comme les pêcheurs les plus expérimentés. Un livre de référence pour une consultation de prise garanti ! Télécharger la couverture en HD Ajouter au panier La pêche du brochet à la moucheJacky Roehrig 35,00€ Auteur Jacky RoehrigConnaissance du milieu, matériel et techniques, montage des streamersLe brochet, la nouvelle passion des moucheurs ! LE livre référenceDepuis quelques années la pêche du brochet connaît un retour en grâce et son image s’est nettement valorisée à travers le monde et fascine les moucheurs. Il est devenu un poisson de sport à part entière alors qu’on le tenait, il y a peu encore, comme un nuisible. Ce qui se passe en Scandinavie, qui est devenue l’un des foyers les plus actifs de la pêche du brochet à la mouche, illustre bien cette évolution l’intérêt des pêcheurs sportifs, séduits par la violence des attaques de ces carnassiers et par leur défense vaillante et souvent y a vingt ans, la pêche du brochet à la mouche en était à ses balbutiements. Depuis, cette technique de pêche a fait ses preuves. De plus en plus, les pêcheurs ont eu l’envie de franchir le pas. Tous les magazines halieutiques ouvrent désormais leurs colonnes au brochet à la mouche – un signe qui ne trompe ce livre, on part de la connaissance du poisson et de ses postes, ensuite sont passés en revue l’équipement du pêcheur de brochet à la mouche et les différentes techniques de pêche, en fonction des types de soies utilisées. Puis une section importante est consacrée aux streamers et à leur montage. On y trouvera une sélection de nouveaux modèles et leur emploi. Enfin l’auteur propose un tour d’horizon des meilleures destinations à brochet au monde. L’ensemble s’efforce donc de donner une vision globale du brochet à la mouche aujourd’ LE nouveau livre de référence de la pêche au brochet à la mouche. Télécharger la couverture en HD Ajouter au panier

Surle coup du soir, je me mettais en mode truites à la mouche sur une rivière ariégeoise que j’adore. J’aime ces soirées d’été où l’on peut aller pêcher à la fraîche. J’ai tellement de possibilités de pêche à 30 minutes à la ronde autour de chez moi, qu’il m’est possible de changer de rivières à l’envie jour après jour. Ce soir là j’en prendrai une en
LA PECHE A LA TRUITE DANS LA VALLOIRETTE un sport a part entiere !!! Voila, donc valloire est un lieu idéal pour la peche a la truite ! Que ce soit dans les torrents tels que la Valloirette, ou dans les lacs d'altitude comme le lac des Cerces, le poisson ne manque pas ! Les cartes de peche sont en vente a l'Office du tourisme et au magasin "le comptoir Cyril'", et vous trouverez tout votre bonheur point de vu materiel au "comptoir cyril'" egalement. SCRATCHY FIER DE SA TRUITE, IL Y A QUELQUES ANNEES ... Plusieurs techniques sont possibles au toc, a la mouche, a la cuillere, avec appat vivant ...-> au toc, on utilise des vers gelatineux, ou tout autre subterfuge pour attirer la bete vers l'hamecon -> a la mouche, le but est d'imiter un insecte se posant sur l'eau afin que la truite vienne le manger -> a la cuillere, le but est de créer de petits reflet dans l'eau pour attirer le poisson en imitant un petit animal se deplacant dans l'eau -> avec appat vivant on utilise des vers de terre, vers d'eau, sauterelles grillons,... et surtout, le plus efficace je pense, la teigne, sorte de vers a bois Vous pourrez ainsi taquiner de splendides truites "fario" naturelles, aux jolies taches orangées, ...ou encore d'énormes truites "arc en ciel", les ecailles toutes attention, il faut prendre garde à ce qu'elles aient la taille minimum pour etre pechées la maille. Si mes souvenirs sont bons, il y a 2 ans, elle était de 23cm .... ce qui fait deja une belle bete !!!UNE BELLE ARC EN CIEL VENANT DU PONT DES VERNEYS Apres, reste le dilemne est ce que je la relache, ou je la mange ...ça ça reste votre choix ... ATTENTION ->La peche est autorisée seulement en dehors de la reserve de peche, ou les truites sont tranquiillent et se reproduisent naturellement. La reserve s'étend de la source de la Valloirette dans les hauteurs de plan Lachat, jusqu'au pont des Pestiférés, en aval de Bonnenuit. ->De plus, il faut normalement arreter toute activité de peche une demi heure apres le couché du soleil ! -> La peche dans les lacs d'altitude est autorisée seulement quelques jours par les plus doués, le nombre de prises par jour est quand meme limité, ...autour de 10, je crois ... credit photo Scratchy', Fred, I7u2.
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  • pĂŞche Ă  la truite autour de moi