Jeveux, t'aimer, au fond de tes yeux, je veux t'illuminer, Ă©couter le vent, gĂ©mir, intensĂ©ment, comme un souvenir, entendre le son , de ta voix, avec passion, et Ă©moi, l'amour, sans cesse, pour toujours, avec tendresse c'est sublime, cette quĂȘte d'absolu, si intime, depuis que je t'ai vue, encore, je t'aime
Cherchemusique sans paroles. Pour un prochain exercice d'animation, je vais devoir réaliser le clip d'une musique sans paroles, seulement voilà , je n'en connais pas qui m'inspire suffisamment! Alors je fais appel à vos goûts musicaux, balancez! pitié. ton clip tu peux nous en dire un peu plus sur l'animation que tu veux, j'ai des idées
IsaĂŻeVen 19 AoĂ» 2022 - 1106 Informations du personnageNom Nâen possĂšde pasPrĂ©nom IsaĂŻeSexe Devine⊠AnnĂ©e de naissance 178NationalitĂ© MizujinPays d'origine Mizu no KuniCapacitĂ© SpĂ©ciale Sabreur le Sabre FurieDĂ©tails de votre CS ăĄă€ăčăčăăł â Meisusukin Litt. Peau de MassueOrigine ???Apparence Un Ă©norme et Ă©trange bĂąton moitiĂ© bois, moitiĂ© acier, moitiĂ© obsidienne. Un genre de macuahuitl » hors de proportion lâarme fait presque deux mĂštres de long et gagne cinquante centimĂštres sur sa plus grosse largeur et ornementĂ© de symboles Furie â Les blessures subies contraignent des renforcements physiologiques au combattant. Force, vitesse et endurance sont amĂ©liorĂ©es par des dĂ©charges d'adrĂ©naline, d'endorphine et autres altĂ©rations psychiques. Plus les blessures subies sont importantes, plus les boost le sont, plus l'esprit du combattant sombre dans la furie. Il passe progressivement de la colĂšre Ă la folie meurtriĂšre. Au seuil de la mort, le combattant est surhumain, mais n'aura de cesse de lutter jusqu'Ă le Guerrier en manteau blanc tĂąchĂ© de sang. Il porte un masque miroir sur le du personnageDes yeux bleus effrayĂ©s oĂč luit une nuance de folie. Des longs cheveux blancs et ondulĂ©s jusquâaux Ă©paules, comme des nuages juchĂ©s sur un visage pĂąle aux traits si harmonieusement fins quâils expriment la ligne flottante entre virilitĂ© et fĂ©minitĂ©. Un mĂštre soixante-dix-sept pour environ soixante kilos. Le corps est athlĂ©tique et vigoureux. Il porte en collier une toute petite poupĂ©e de chiffon partiellement du personnageCocon de folieIl existe une sĂ©pulture sous le ciel d'un dĂ©sert. Une seule tombe pour deux dĂ©pouilles. Sa stĂšle nâest quâune petite pierre, et dessus est gravĂ© un seul mot, comme le croquis dâun mot, câest⊠PARDON »Chapitre ISi je reviens pas, surtout, pense surtout aux lilas. De toutes parts la voie est ouverte tant Ă la sagesse qu'Ă la folie, et beaucoup d'hommes ne savent tristement pas discerner le vrai chemin quâils choisissent. Il est possible que toutes les histoires suivent ce schĂ©ma certaines mĂšnent Ă la folie, dâautres Ă la sagesse, tandis que lâaventurier dans le rĂ©cit de sa propre vie, va, hĂ©bĂ©tĂ© et aveugle, sans ne savoir quel tracĂ© il emprunte dans son pĂ©riple. Et encore, avoir la sagesse de cheminer sur la bonne route ne suffit pas ; il faut sur son parcours pouvoir lâinfliger aux autres, si l'on ne dĂ©sire pas endurer leur folie. La folie est plus contagieuse que la sagesse. La sagesse Ă©touffe autant quâelle Ă©clot dans la folie. Peut-ĂȘtre mĂȘme, la sagesse nâest-elle quâune folie qui se sait folle. Quelle vĂ©ritĂ© serait cachĂ©e lĂ ? Un chemin empruntĂ© par chacun, mais vĂ©cu diffĂ©remment par tous. Dans le bonheur des hommes, quelques similaritĂ©s existent. Ils semblent tous ĂȘtre heureux de la mĂȘme façon, alors que le malheur, lui, est dĂ©sespĂ©rĂ©ment aussi unique que propre Ă lâindividu. Une histoire ne commence jamais seule, elle est toujours accouchĂ©e dâune autre la question originelle derriĂšre tous les chemins de vie, probablement dissimulĂ©e dans tous les rĂ©cits, Ă©tait au grand commencement, le point du jour le plus ancien, aussi le plus obscur, et est si loin dâaujourdâhui quâelle nâa jamais pu ĂȘtre encagĂ©e par la raison humaine ; nous ne pouvons que courir aprĂšs une rĂ©ponse Ă une inconnue. Penser le sens de la vie, câest comme creuser dans une nĂ©buleuse oĂč on se perdra de vue. Câest une sorte dâĂ©ternelle Ă©quation. Câest sans doute, Ă©galement la raison de notre intuition de lire, ou de vivre encore et toujours les mĂȘmes histoires ; elles fouillent, elles dirigent, lĂ oĂč notre pressentiment est conditionnĂ© Ă chercher. La plus profonde de nos questions est la vĂ©ritable cause du sentiment du Monomythe. La premiĂšre, la plus importante de toutes les questionsâŠ. La seule vraie rĂ©ponse au pourquoi » de ce mirage qu'est la vie, quâelle soit sagesse ou folie, et sâil existe, doit sĂ»rement nâĂȘtre quâune bonne question ; le choix est au chemin, ce que le destin est Ă la destination. La vie est un chemin choisi, et la mort une fin destinĂ©e. Ce doit ĂȘtre quelque part par lĂ , que se trouve cette unique et toute premiĂšre question. Entre la sagesse et la folie, entre un dĂ©but et une fin. Flasque est le jour du deuil. Ce jour sied mieux aux jours de pluie. Le soleil est mĂȘme un gĂącheur de chagrin. Il ne faut pas s'ensevelir dans son deuil, ni surtout s'enterrer dans son chagrin » croient sage de dire les amis de ceux qui pĂątissent d'une perte. Nâentendant le cri dâune Ăąme arrachĂ©e dâun de ses morceaux, ils ne font alors quâalimenter la folie. En effet, malheureusement, toutes les occupations paraissent rebutantes et odieuses Ă l'homme qui souffre dâĂȘtre privĂ© de ce quâil aime, sauf, peut-ĂȘtre bien celles qui lui promettent la mort de son regret ; il arrive frĂ©quemment que la mort de lâimpalpable soigne les maux dâune autre mort, elle, bien palpable. Il est rare que le deuil fasse son temps dâavance lorsquâil est imposĂ© brutalement. Il peut mĂȘme prendre beaucoup, beaucoup de temps. Prendre tout son temps, avoir besoin dâun prix plus Ă©levĂ© que celui de la pensĂ©e pour parvenir Ă passer. Ce jour ensoleillĂ© Ă©tait l'anniversaire de la mort dâune Ă©pouse et de son enfant pour un guerrier quâaucun mot de compassion nâaurait su ramener Ă de bons sentiments. Un an dĂ©jĂ Ă mĂącher sa rancune ne lui avait pas suffit. Son deuil ne sâachevait pas. Les religions eurent Ă©tĂ© plus humaines si, pendant un deuil, le fidĂšle pouvait blĂąmer sa divinitĂ© ; le sens du sacrĂ© ne lây autorisant presque jamais, faute de quoi, le jour dâoĂč relĂšve de se souvenir une mort et ses responsabilitĂ©s, c'est vers quelque chose de bien moins divin, rien qu'un homme souvent, que file le reproche. Si beau que le temps fut, tout paraissait sombre Ă IsaĂŻe, lorsque devant la tombe de son Ă©pouse et de son enfant rĂ©unis, il nâavait aucun dieu sur qui faire peser son ire. Il nâavait pour lui rien que le rappel dâune dette quâil se demandait devoir recouvrer ou non. Silencieusement, devant cette modeste sĂ©pulture, ensuite il se remĂ©morait cet instant, oĂč autrefois avant la mise en terre la veillĂ©e funĂšbre lui avait Ă©tĂ© si insoutenable quâil en avait dĂ» pour se calmer, aller trancher quelques arbres aprĂšs sâĂȘtre saoulĂ©. Elle Ă©tait si belle dans son cercueil, pensait-il. Câest drĂŽle, les crocs-morts embellissent le corps pour que le temps de lâenterrement, le trĂ©pas est seulement lâair dâune vie endormie, mais pour mon bĂ©bĂ©, il nây avait eu quâune boĂźte fermĂ©e. Les embaumeurs ne savent-ils masquer aussi la mort sur un nourrisson ? LâinĂ©galitĂ© rĂšgne peut-ĂȘtre jusque dans la mort. » Il dĂ©posa sur la tombe un bouquet de lilas. Les fleurs prĂ©fĂ©rĂ©es de sa dĂ©funte femme. Cette offrande ne le guĂ©rissait pas. Au bas de toute chose est la tristesse, comme aux extrĂ©mitĂ©s de tous les fleuves sera l'ocĂ©an. En pourrait-il ĂȘtre diffĂ©remment dans un monde oĂč tout ce que nous aimons doit disparaĂźtre ? Le silence, l'inertie, voilĂ la fin de tous nos remous ; et la mort, voilĂ le secret de la vie ; le deuil croque de prĂšs ou de loin l'Ăąme comme lâunivers est enveloppĂ© dans la nuit. Que la mort cicatrise tous les maux et soit le dĂ©but dâune immortalitĂ©, beaucoup disent le croire, mais pour combien de ceux qui restent cela signifie-t-il lâapaisement de leurs tourments ? Au prix dâune folie en sommeil, le souci de la vengeance emportait IsaĂŻe vers un autre pansement. Une femme, Anne Barratin, exprima cela si simplement, elle le rĂ©suma dâune seule volĂ©e AprĂšs certains deuils, le cĆur se ferme complĂštement le mort a emportĂ© la clĂ©. » Son hommage rendu, IsaĂŻe quitta le cimetiĂšre, direction le centre ville, vers la boutique dâune prĂȘteuse sur gage. LĂ -bas rĂ©sidait la seule personne qui prenait encore le temps de lui parler. Depuis un an, IsaĂŻe sâĂ©tait enfermĂ© dans son isolement et presque tous ses amis l'y avaient abandonnĂ©. Il ne lui restait plus quâune amie aujourdâhui. IsaĂŻe nâaccablait personne pour ça. Lucide, il savait quâil nây avait qu'au sein des romans que ceux qui souffrent sont attirants. Ă force de repousser on obtient ce quâon souhaite lâĂ©tendue dĂ©sertique dâune solitude seule Ă pouvoir ĂȘtre peuplĂ©e selon son grĂ©. Dans cette contrĂ©e, la mĂ©lancolie sâĂ©panouit. Le penchant Ă la solitude est l'un des symptĂŽmes ordinaires de la mĂ©lancolie. L'homme qui Ă©prouve ce sentiment de mĂ©lancolie fuit la transparence du jour et le volet du monde. Incapable de poursuivre vivement une autre pensĂ©e que celle qui le dĂ©vore, il se fait de la vie un vrai supplice et de cette torture, ne peut naĂźtre que lâabandon de ses semblables ; solitude et mĂ©lancolie sont les deux murs du repli sur soi que nulle ne peut plus franchir aprĂšs un temps. Vers onze heures du matin, le sabreur pĂ©nĂ©tra une casbah mĂ©connue des gens bien nĂ©s. Sa gĂ©rante Ă©tait du genre infrĂ©quentable aux yeux de ceux dont la morale dictait la conduite. Son mĂ©tier consistait en effet Ă plumer des civils et des shinobis encore plus infrĂ©quentables quâelle. Une petite porte avec un tout petit Ă©criteau ouvrait directement sur la salle principale contenant des vitrines, un comptoir et une foule dâobjets laissĂ©s lĂ par des misĂ©reux en manque de finances. Câest dĂ©jĂ lâheure de lâapĂ©ro ? fut accueilli IsaĂŻe par son amie dĂšs quâil franchit le seuil de la porte.â Komoe⊠Câest de toi que je tiens que câest toujours lâheure de lâapĂ©ro. Ils sont oĂč les clients aujourd'hui ? Câest quoi ce dĂ©sert ? se dirigea directement IsaĂŻe vers le comptoir.â Ă peine tu arrives, faut que tu critiques !â Sur qui je pourrais taper si câest pas toi ?â Pfff⊠Attends, je te ramĂšne une chaise. On va bien se mettre bien, installa-t-elle le sabreur juste en face dâelle. Tu reviens du cimetiĂšre ? lui demanda-t-elle ensuite en remplissant deux verres.â Oui. Et je ne tây ai pas vu, lâaccusa-t-il.â Allons⊠Bois, trinquĂšrent-ils alors en buvant chacun une premiĂšre gorgĂ©e dans une gorge nouĂ©e.â Je comprends tu sais. TâinquiĂšte pas. Je te taquine.â Tu taquines oui. Câest pas bientĂŽt la fin de ton congĂ© ?â Non⊠Ou peut-ĂȘtre bien. Je sais plus. Mais je viens quand mĂȘme reprendre Meisusukin aujourdâhui.â Tu comptes faire quoi avec ça si tu reprends pas du service ? Tu veux te refaire un peu la main avant de rempiler ?â Câest mon arme. Jâai pas de raison Ă te donner. Tu lâas quand mĂȘme pas vendue ?â Bien sĂ»r que non⊠Sois pas con. CâĂ©tait pas un gage cette massue. Et je veux pas dâemmerdes avec ton clan. Moi, je tâai juste promis de la conserver le temps que tu tâassures de pas faire de bĂȘtises avec. Jâavais pas envie que tu repandes lâenfer quelque part.â Lâenfer Ă©tait sur terre bien avant que lâhomme ne lâinvente en dessous.â De toute façon câest bien que tu la reprennes. Les shinobi vont pas te laisser te la couler douce indĂ©finiment.â Je ne compte pas y retourner tout de suite. Jâai quelque chose Ă faire avant.â Et câest quoi cette chose ?â Je lâai trouvĂ©. Je sais oĂč il est.â Comment tu lâas su ? comprit-elle tout de suite.â Balec, cracha presque IsaĂŻe.â Tu comptes faire quoi ? se noircit dans sa peur le regard de Komoe.â Le tuer. Quoi dâautres ?â Le monde est en guerre, et toi tu ne penses quâĂ te venger.â La guerre Ă©tait lĂ bien avant ma naissance, et continuera de lâĂȘtre bien aprĂšs ma mort. Tant quâun homme ne sera pas pleinement humain, le yuukan ne fera pas sa mue. Moi, j'ai ma vengeance. Une fois accomplie, je reviendrais accomplir ma mission pour Kiri. Mais pas avant.â Ă tâenfermer dans ta haine, les tĂ©nĂšbres vont te dĂ©vorer. Ce nâest pas ce quâelle aurait voulu pour toi.â Je sais mieux que toi ce quâelle aurait voulu pour moi. Et puis, toi tâes civile, tu comprends pas. Dans le monde shinobi, les tĂ©nĂšbres Ă©quivalent Ă la lumiĂšre. Tu veux que jâarrĂȘte de haĂŻr ? Mais putain soit pas folle. Si jâarrĂȘte de haĂŻr, quâest-ce quâil me restera Ă part ma douleur ?â Il y a des buts plus saints que la vengeance tu sais. Ăa existe ! Et dâautres moyens de mettre fin Ă ta douleur.â Un but, ça ne se choisit pas. Ăa se dĂ©couvre et on fait avec. Tâes qui pour me donner des leçons ? Tâas plus de soixante piges, et tu picoles comme un trou. Tu crois que noyer ta peine dans lâalcool câest mieux ?â Les barreaux qui ne sont pas en acier sont plus difficiles Ă ronger disait ma mĂšre.â CâĂ©taient quoi les barreaux de ta mĂšre ?â Mon pĂšre.â Et comment elle sâen est dĂ©barrassĂ©e du coup ?â Il est mort de la cirrhose avant quâelle sâen charge, dit-elle en vidant son propre verre.â Je ne compte pas attendre que la nature fasse son Ćuvre moi. Et puis pour tout te dire, j'ai l'impression vu ce que tu t'enfiles que ton pĂšre est restĂ© pour toi des barreaux », ajouta-t-il en vidant le sien. Komoe soupira, se leva, puis entraĂźna son ami sans un mot, dâun coup de menton, dans lâarriĂšre boutique. Câest rare de tâentendre fermer ta gueule, commenta-t-il cela.â Un bon ami sait savoir quand il faut se taire », se força-t-elle Ă en rire. Meisusukin attendait son propriĂ©taire. Lâarme Ă©tait si Ă©norme et si lourde quâelle Ă©tait Ă mĂȘme le sol dâun cĂŽtĂ© et sur un reposoir de lâautre. Lorsque IsaĂŻe la saisit, un flash lâenvahit. Ce fut fugace, rien quâun instant, la tĂȘte dâun guerrier en manteau blanc tĂąchĂ© de sang et avec un masque mirroir oĂč IsaĂŻe vit le reflet de son propre visage. Il ne le craignit pas, ni ne sâen Ă©tonna. Mon vieux compagnon », pensa-t-il au contraire un sourire malsain Ă la commissure en la soulevant. Bordel, mais comment tu peux manier ça ?â Lâhabitude.â Elori nâaimait pas que tu la portes. Elle me disait quâelle te rendait dangereux.â Ăa ne lâa pas empĂȘchĂ©e de me la donner. Elle Ă©tait convaincue que lâavenir de la femme Ă©tait de tenir lâhomme dans ses mains et dâen tirer le meilleur parti. Elle nâĂ©tait pas douĂ©e avec une arme. Mais elle avait bien mieux pour dominer.â Quoi ?â Du cĆur. Beaucoup de cĆur. Un beau cĆur. Elle avait un pouvoir Ă©trange sur moi. Ă lâĂ©poque oĂč je lâai connue, jâavais du mal Ă respirer Ă cĂŽtĂ© dâelle. Je crois quâune femme a toujours en elle lâidĂ©e quâelle peut façonner Ă son image ce quâelle aime. Elori me prouvait tous les jours que câĂ©tait possible.â Tu pars pour oĂč du coup ?â Kaze no Kuni. Câest lĂ -bas quâil se cache. Alors câest lĂ -bas que je vais.â Câest le bout du monde oĂč tu te rendsâŠâ Jâai tellement entendu que le monde est petit que le bout du monde ne doit pas ĂȘtre si loin que ça.â Kiri va te laisser partir comme ça ?â Soit ça, soit ils me traqueront pour me tuer. Je ne dĂ©serte pas tu sais. Je compte revenir.â Et si⊠Si tu ne revenais pas ?â Si je reviens pas, surtout, pense surtout aux lilas.â Va te faire foutre.â Ă la prochaine Komoe et merci pour le verre », alla ensuite IsaĂŻe vers la sortie. Sur son chemin, IsaĂŻe prit soin de garder dans une poche deux lettres, dont une lettre quâil avait Ă©crite Ă son Ă©pouse. CâĂ©tait bien aprĂšs son dĂ©cĂšs quâil lâavait rĂ©digĂ©, un jour, juste comme ça oĂč il avait Ă©prouvĂ© cette pulsion qui l'avait astreint Ă mettre des mots sur les songes qui le rongeaient Ă mon amour, autant que souffle lâincertitude, et que me mĂšne en altitude, pour que je mây asphyxie, et cesse enfin de craindre la folie. Aussi moi-mĂȘme que pourrais-je, en mal ou en bien, quâen saurais-je⊠Tout lĂ haut, mort sĂ»rement pour te venger ou te rejoindre, Ă dĂ©faut dâĂȘtre qui je veux ĂȘtre, qui tu aurais voulu que je fusse, me contenterais-je dâĂȘtre. Cela suffira Ă mon bonheur. Ă cette altitude, plus dâincertitude. Accompli, enfin, je saurai comment te revoir, ou oĂč semer mon malheur. »âââââââââââââââââââââââââââââââââââââââââChapitre IILe confort du dĂ©sertSi Chaque Paysage est un Ătat d'Ăme » selon le lĂšgue dâHenri FrĂ©dĂ©ric Amiel, une mer dĂ©sertique sous un soleil de plomb correspond Ă quelle disposition ? Faut-il en plus que le silence ne soit entravĂ© dâaucune sombre mĂ©lodie pour que le tableau soit parfait. La petite Kieyasu ĂągĂ©e dâĂ peine six ans ne disposait pas de ce privilĂšge. JetĂ©e hors de la tente familiale, dans celle-ci et derriĂšre son dos hurlaient son pĂšre, sa mĂšre, et leur ami quâelle appelait oncle. Le paternel Ă©tait incontrĂŽlable comme cela lui arrivait souvent depuis son retour un an auparavant. Elle en ignorait la cause et se faisait tĂ©moin malgrĂ© tout de ses accĂšs de fureur, de la violence infligĂ©e Ă sa mĂšre aussi loyale que dĂ©vouĂ©e, ou de ses verbiages guerriers auxquels elle ne comprenait rien. Lâami de la famille, quâon lui avait prĂ©sentĂ© en tant que Kyochori Yamanaka lâavait habituĂ© Ă sâoccuper selon ses propres moyens pendant ces mauvais moments. Câest pourquoi Ă cet instant, dans le sable du dĂ©sert, avec un bout de bois, elle dessinait ses propres paysages. Ceux-lĂ Ă©taient-ils ses Ă©tats d'Ăąme ? Que pouvaient-ils ĂȘtre tandis que de la violence de son foyer naissait son silence ? Elle aurait tant aimĂ© quâon lui fĂźt assez confiance pour lui dire les fĂącheuses vĂ©ritĂ©s, mais on lâĂ©coutait aussi peu quâon les lui avouait. La biensĂ©ance exigeait aux yeux des adultes qui en avaient la garde, que pour la protĂ©ger on lui cachait le poids dâun passĂ©. Si seulement, si seulement eux, ils avaient su, que la vĂ©ritĂ© dissimulĂ©e derriĂšre la biensĂ©ance nâest quâhypocrisie. Afin de se prĂ©munir de la dĂ©raison environnante, Ă cette enfant ne subsistait donc quâune imagination fertile oĂč sĂ©journait l'aptitude Ă se prĂ©munir de tout ce qui lui Ă©tait extĂ©rieur et insupportable. Lâinstinct de prĂ©servation sait prendre tous les chemins de traverse lorsque lâintĂ©gritĂ© est en cause. Ses rĂȘves dâun ailleurs Ă©taient ses Ă©tats dâĂąme, ils Ă©taient le son de son silence. Le son de son silence, Ă©tait le rĂȘve dâun pays, lâespoir dâun foyer sans violence. Cette fois-ci, la tempĂȘte dura une vingtaine de minutes. Lâapaisement des cris lui indiqua que lâorage Ă©tait passĂ©, mais elle ne dĂ©sira pas retourner dans la tente. Rapidement, Kyochori sortit et la rejoignit. Calmement, il sâassit Ă cĂŽtĂ© dâelle et, afin de nouer un contact, lui prĂ©senta une petite poupĂ©e de chiffon. Tiens, jâai fait ça pour toi, la lui proposa-t-il tendrement.â Merci, lâaccepta-t-elle en forçant un court sourire. Quâest-ce quâils font mes parents ? demanda-t-elle ensuite en continuant de regarder ses dessins dans le sable et en tripotant sa poupĂ©e.â Ton pĂšre sâest endormi et ta mĂšre le veille. Ils ont besoin de se reposer tous les deux.â Comment tâas fait pour quâil dorme ? Jâaimerais apprendre Ă faire quâil dorme.â Je soigne sa tĂȘte. Je peux rentrer dans la tĂȘte des gens. Je rentre dedans, et je cherche dans ses mauvais souvenirs pour les lui enlever. Toi tu peux pas faire ça. Tu peux pas le faire comme moi. â Pourquoi ? â Câest un pouvoir de mon clan.â Les shinobi mĂ©decins peuvent pas le guĂ©rir eux ?â Ils ne soignent que le corps. LĂ le problĂšme est plus profond. Les souvenirs qui lui font mal sont trĂšs profonds.â Merci.â Ton pĂšre est un trĂšs vieil ami. Il mâa plusieurs fois sauvĂ© la vie. Je lui dois bien ça.â Je sais dĂ©jà ça. Merci de me parler.â Ăa doit ĂȘtre dur pour toi. DâĂȘtre venu vivre ici. Tout ça. â Il fait chaud ici. Mais ça va. Pourquoi il a des mauvais souvenirs mon pĂšre ? â Je⊠Il⊠Je ne peux pas te le dire. Ce nâest pas Ă moi de te le dire.â Si tu le dis, se referma lâenfant.â Câest Ă cause de la guerre. LĂ -bas, on a fait des choses. De mĂ©chantes choses. Câest ça qui fait trĂšs mal Ă ton pĂšre, avoua-t-il finalement par culpabilitĂ© envers lâenfant.â Moi aussi un jour jâirais Ă la guerre ? » sâinquiĂ©ta donc la petite fille. Kyochori se mordit la lĂšvre et sâen arracha un bout de peau. Ses joues tombĂšrent avec ses yeux de nâĂȘtre certain de la vĂ©racitĂ© de la rĂ©ponse quâil souhaitait offrir. Kieyasu entortillait le chiffon de sa poupĂ©e et nâobtenant pas la rĂ©ponse Ă sa question, finit par la dĂ©laisser pour fixer des yeux innocents sur le Shinobi. Il secoua la tĂȘte, se reprit Nous sommes ici pour que ça nâarrive pas. Mais je ne peux pas te dire non. Ta vie tâappartient et tu seras la seule Ă dĂ©cider de ce que tu en feras. Nous les adultes, notre rĂŽle câest de prĂ©parer Ă faire tes propres choix.â Je veux pas aller Ă la guerre. Je veux pas ĂȘtre comme papa.â Ă la guerre dans ce monde, on est obligĂ© dây faire face. Mais tu dĂ©cideras comment le faire. Et ce sera pas forcĂ©ment en la faisant.â Comment alors ?â Jâen sais rien encore. Jâen sais rien. Mais dĂšs que jâai la rĂ©ponse, promis, je te la donne. Je dois aller chercher de lâeau. Je peux te laisser ?â Non. Je veux y aller.â Je peux pas te laisser partir toute seule jusquâau puits.â Je veux y aller. Jâen ai marre de rien faire. Laisse-moi y aller.â Je suis sĂ»r que je vais le regretter.â Câest Ă moi de dĂ©cider ce que je veux faire, tu as dit. Je veux dĂ©cider maintenant. Je veux y aller.â Pas de dĂ©tour hein ? Tu me le promets ?â Promis. »Vers le mĂȘme puits oĂč Kieyasu se rendait, approchait dĂ©jĂ IsaĂŻe. Les informations quâil avait obtenues de quelques marchands ne lui avaient pas permis de savoir plus que la cachette de sa proie fut en ce dĂ©sert. VoilĂ alors trois semaines quâil y dĂ©ambulait sans trouver aucune trace, mais il nâabandonnait pas. Pour lâheure, ce dont il avait besoin câĂ©tait de l'eau, et heureusement il avait pris soin de se faire indiquer sur une carte en sa possession oĂč se situaient les diffĂ©rents puits de cette rĂ©gion. Câest un homme transpirant de ce que le soleil nâavait aucun lit de nuage pour sâamoindrir qui atteint le puits sur lequel il se jeta. AssoiffĂ©, il tira bien vite lâeau du gouffre, cependant, il Ă©prouva aussi et toujours une certaine quiĂ©tude Ă vagabonder en cet endroit. Dans le dĂ©sert oĂč tous les horizons se ressemblent, les souvenirs paressent sous la lumiĂšre ; câest lĂ oĂč les traces ne durent pas, rĂšgne comme une absence de temps, pas de passĂ©, ni dâavenir. Ă celui que l'histoire entrave, un temps Ă©thĂ©rĂ© sera antidouleur. Lâeau fraĂźche passĂ©e sur son visage, en relevant la tĂȘte, IsaĂŻe aperçut ce quâil crut ĂȘtre un mirage, Je devais ĂȘtre sacrĂ©ment dĂ©shydratĂ© », pensa-t-il mĂȘme, mais la durĂ©e de la vision le convainquit de sa rĂ©alitĂ©. Au loin, une petite fille marchait vers le puits, avec un seau dans les mains et une poupĂ©e de chiffon portĂ©e en collier. Bonjour, dit-elle simplement Ă un mĂštre de lui.â BonjourâŠâ Vous avez fini ? Je peux me servir ?â Oui oui, bien sĂ»r.â Câest une Ă©pĂ©e ça ? demanda-t-elle innocemment en contemplant l'Ă©normitĂ© de Meisusukin et en remontant de lâeau du puits.â Je m'en sers de casse-noisette avec aussi de temps en temps.â Câest pas un peu gros pour casser des noix ?â Certaines noix sont plus grosses que dâautres, la fit-elle rire.â Vous faites quoi ici ?â Je me perds je crois.â Parce qu'il n'y a pas de route ? le fit-elle rire aussi en retour.â Ha ouais. Jây avais pas pensĂ©, mais ça doit jouer.â Ici câest quand mĂȘme mieux que lĂ oĂč jâhabitais avant.â OĂč ça ?â Ă Hi no Kuni. Ă la campagne. Mais câest la guerre lĂ -bas. Ici câest plus tranquille.â Moi non plus jâaime pas les campagnes en guerre. On y trouve que des chemins sans panneaux et des maisons vides.â Vous connaissez Hi no Kuni ?â Jây suis dĂ©jĂ allĂ©. Une fois ou deux. Vous avez fui la guerre avec ta famille ?â Oui. On est venu ici pour soigner mon pĂšre qui est malade.âDĂ©solĂ© pour toi. Câest pas de bol.â Ăa veut dire quoi ?â Que tu nâas pas de chance.â Je sais pas ce que câest la chance.â Câest quand ça va bien sans trop dâeffort.â Alors je commence Ă en avoir. Ici, ça commence Ă ĂȘtre mieux. Vous vous appelez comment ?â IsaĂŻe.â IsaĂŻe comment ?â Quand mes parents mâont vendu, ils nâont pas pensĂ© Ă me donner un nom de famille.â Comme les chiots ?â Ouais⊠C'est ça... Comme les chiots.â Câest pas trĂšs gentil.â Et toi tu tâappelles comment ?â Kieyasu Aburame.â Aburame ? Vraiment ? Câest pas vraiment la rĂ©gion pour en rencontrer, se durcit IsaĂŻe. Il sâappelle comment ton pĂšre ?â Genzu. »Il n'y avait rien qui ne lui payait un impĂŽt de joie, rien qui, pour un enfant, toute chose nâĂ©tait autre quâun jouet. Mais pas chez cette enfant nĂ©e parmi les dĂ©mons. Elle nây avait pas encore perdu son innocence, mais sans en avoir conscience, nâĂ©tait dĂ©jĂ plus totalement dupe des rĂ©alitĂ©s de la vie ; que dans chaque Ăąme perdue, câest un peu du monde qui meurt. Les papillons sur l'air, les bleuets dans les blĂ©s, le sable sous les Ă©cumes, la luzerne des campagnes, les allĂ©es vertes des bois, normalement tout fournissait Ă lâenfant des plaisirs, tout lui promettait ici-bas des fĂ©licitĂ©s mystĂ©rieuses. Un mensonge Ă lâenfant crĂ©ait du rĂȘve. Pour les enfants, le rĂȘve est constant, la vie devrait ĂȘtre un jeu. Elle, elle ne jouait hĂ©las dĂ©jĂ plus. Comme pour les adultes, son rĂȘve ne cessait dâĂȘtre une fuite en avant. Plus la rĂ©alitĂ© est brutale, plus les marchands de rĂȘves ont des chances de faire fortune auprĂšs des adultes. Plus la sociĂ©tĂ© est terrible, plus ce qui peut en faire sortir est vendeur. Elle est seule dans le dĂ©sert. Elle seule devant un guerrier et nâa mĂȘme pas peur. Elle a lâair diffĂ©rente des autres gosses. Pourquoi ? Pourquoi elle a lâair diffĂ©rente ? Et si je la tuais. Pour lui faire mal. Aussi mal que jâai mal, dans combien de temps il le saurait ? Quâest-ce quâil comprendrait Ă ĂȘtre privĂ© Ă son tour de ce quâil mâa privĂ© ? », se disait-il en mĂȘme temps. Ăa va ? Vous ĂȘtes tout blanc dâun coup, sâinquiĂ©ta Kieyasu.â Je pensais Ă quelque chose de pas agrĂ©able. Excuse-moi », nâosa-t-il la regarder dans les yeux. Instinctivement, la petite fille posa son sceau rempli dâeau. Elle dĂ©crocha ensuite de son cou sa poupĂ©e en collier, et lâoffrit au guerrier. Câest pas grand chose, je peux pas rester pour vous Ă©couter, mais jâai que ça. Si vous voulez je vous la donne », la tendit-elle innocemment. IsaĂŻe ignora quelle fibre de son ĂȘtre fut atteinte, quelle substance de son inconscient fut percĂ©e, mais ce geste eut sur lui un effet dĂ©vastateur. Le shinobi pensa alors aux gens qui riaient de ceux qui croyaient aux anges. Il se demanda, maintenant quâil avait rencontrĂ© une chose aussi sublime, sâils changeaient de point de vue lorsque leurs yeux se posaient sur leur enfant, leur chair, leurs entrailles, leur avenir. Lui aussi, autrefois, avait sans doute Ă©tĂ© un petit ange tout innocent, mais il se rappela en se considĂ©rant face Ă ce quâil admirait, que les petits anges faisaient de grands diables ; Pas celui-ci, pitiĂ©, pas celui-ci », supplia-t-il alors le ciel de l'aider Ă se contenir. Puis Pourquoi tu me la donnes ? questionna-t-il fĂ©brilement.â Comme ça. Quand quelquâun va pas bien faut bien faire quelque chose », lui sourit-elle en haussant les Ă©paules. Un ange de la mort, tout-puissant quâil pourrait ĂȘtre, ne saurait tenir tĂȘte Ă celui de lâinnocence. Autant tuer quâil puisse, ingĂ©nuitĂ© abattue ne peut quâĂȘtre Ă©ternelle. Lui porter atteinte, câest un blasphĂšme. L'agneau n'a besoin que d'ĂȘtre agneau pour que le loup se sente honteux Ă le dĂ©vorer, mĂȘme s'il est lĂ©gitime Ă le faire. Merci⊠lâaccepta-t-il et la mit autour de son propre cou. Tu dois ramener ce seau chez toi ?â Oui.â Câest loin ?â Un peu plus dâune heure.â Ăa fait lourd Ă porter. Tu veux que je le porte pour toi ? Je tâaccompagne. Ăa te dĂ©range pas ?â Ho oui ! Câest gentil ça ! » fit-elle se sentir honteux le sabreur.âââââââââââââââââââââââââââââââââââââââââChapitre IIILes jumellesLe soleil n'estompe pas toutes les nuits noires, au contraire, il peut les nourrir, parce que lui aussi, a son ombre ; le spectre du soleil est sa rage de luire, sa lumiĂšre est sa vengeance sur les tĂ©nĂšbres, il en brĂ»lerait tout ce quâil Ă©claire pour y parvenir. De lĂ , la naissance du mal dans l'insuffisance de la frustration ; celle dâun objectif inaccompli. Tous les dĂ©sirs inassouvis couvent le sentiment dâinjustice. Quâest-ce alors surprenant quâen injustice, lâantonyme justice rime avec vengeance, mĂȘme si les reprĂ©sailles les plus juste seront source de grands maux en ce quâelles oseront sacrifier pour s'obtenir ? Quelquefois, on subit tant depuis si longtemps, que quoi quâon chĂ©rit de tout son cĆur sentir, on ne sâen perçoit plus capable ; l'ĂȘtre devient lettre morte. Les connexions sont rompues et c'est l'instinct qui prĂ©domine. Les ĂȘtres humains poussĂ©s aux confins de ce quâils peuvent soutenir ne consultent, en dĂ©finitive plus que leur dĂ©sespoir, pour espĂ©rer sortir du dĂ©couragement. Au bas de ce trou, la pensĂ©e sâĂ©teint sous son propre reflet, et câest dans cet Ă©cho que se nourrit cette ambition dĂ©vorante la vengeance. Lorsque Kieyasu entendit derriĂšre elle le seau dâeau tomber et se vider, aussitĂŽt la vengeance fit dâelle son dommage collatĂ©ral sous la forme dâune arme gigantesque reposĂ©e sur son Ă©paule et dâune voix froide Sur la route, tu m'as dit que tu vivais avec ton pĂšre, ta mĂšre et ton oncle. Appelle-les, dis leur de sortir de la tente. Dis le calmement. »MalgrĂ© tout l'immense poids de Meisusukin sur elle, et dont elle sentit quâil ne fallait seulement quâelle soit lĂąchĂ©e pour ĂȘtre Ă©crasĂ©e, Kieyasu nâobĂ©it pas. Elle tourna un peu son visage, dĂ©visagea le sabreur si griĂšvement quâelle obligea en lui une culpabilitĂ© quâil dĂ©glutit sans faillir. Pourquoi ? dit-elle déçue, les larmes dans les yeux.â Ton pĂšre me doit quelque chose, ravala IsaĂŻe sa salive. Je viens le prendre.â Il vous le rendra. Je vous le promets. Pas besoin de...â Il ressuscite les morts ? ne la laissa-t-il pas terminer. Parce que ce sont deux vies quâil me doit. Ma femme et mon enfant. Ce que lâĂ©pĂ©e prend, lâĂ©pĂ©e le reprend petite. Il n'y a pas de lieu qui puisse servir d'asile contre la vengeance de l'honneur. MĂȘme pas ce foutu dĂ©sert. Fais ce que je te dis. Appelle-les. Maintenant », lui dĂ©crocha-t-il la mĂąchoire en lui apprenant une bien mĂȘme eĂ»t-elle Ă©tĂ© prĂȘte Ă le faire, et ce nâĂ©tait pas le cas, le hasard dĂ©cida quâil nây en eut pas lâutilitĂ©, car alors, la mĂšre de Kieyasu sortit de la tente et vit l'infĂąme en train de se tramer. Elle hurla immĂ©diatement les noms des deux autres pour quâils sortent aussi, puis PitiĂ© », ajouta-t-elle vers IsaĂŻe qui resta de marbre. Genzu et Kyochori ne tardĂšrent pas, car la panique sâĂ©tait entendue dans la voix de la kunoichi. Ă la vue de Genzu, certes que silencieusement, IsaĂŻe exulta. Enfin ! » rĂ©sumait le message de ses yeux, mais ce nâest pas ce quâil commenta. Le regard un instant portĂ© sur Kyochori Faut ĂȘtre sacrĂ©ment con pour porter le symbole de son clan sur son vĂȘtement, Yamanaka, dit-il.â Tâes de la coalition ? Tu traques les dĂ©serteurs ? sâinquiĂ©ta Genzu sur qui rĂ©sonnait dĂ©jĂ une forme de rĂ©signation.â Ce nâest pas au nom dâune faction Ă la con que je suis lĂ . Mais en mon propre nom.â Quâest-ce que tu veux si tu chasses pas le dĂ©serteur ?â Le 18 juillet de lâannĂ©e derniĂšre. Ă Hi no Kuni. Une femme et son bĂ©bĂ©, les fit-il tous comprendre.â Vous Ă©tiez proche ? craignit Kyochori la rĂ©ponse.â Ouais. C'Ă©tait ma femme. » Avant dâĂȘtre la proie de ses semblables, un homme est avant tout la proie de ses propres vĂ©ritĂ©s, parce que le rappel dâune honte impunie ordonne plus de honte Ă la conscience de celui dont la honte coupable est son premier supplice. Genzu avait tentĂ© sans succĂšs de faire taire sa honte en sâorganisant pour que soient rapatriĂ©s Ă Kiri les corps dâune femme et de son bĂ©bĂ©. Il y avait adjoint une lettre exprimant ses remords, et oĂč il avait eu lâimprudence de signer de son nom. DestinĂ©e juste Ă la famille en espĂ©rant que le village militaire face le reste, il ignorait Ă qui il l'avait envoyĂ©. Pour son malheur, cela avait Ă©tĂ© IsaĂŻe. Et Ă lâesprit dâIsaĂŻe, cela nâavait Ă©tĂ© que des mots. Les bons sentiments sont vains si aucun acte ne leur donne corps. Les mots sont des choses faciles. Cette fois, face Ă la vengeance en devenir personnifiĂ©e en un Shinobi consumĂ© par la rancune, il prĂ©sageait que son mal atteindrait bientĂŽt son point le plus culminant. Ma fille est innocente, dit-il nĂ©anmoins. â Mon bĂ©bĂ© lâĂ©tait aussi. Mais tu as raison. Une vie pour une vie. Tu veux quâelle vive ? Choisis. Donne ta vie. Et jâĂ©pargne la sienne.â Tu me le promets ?â Je nâai quâune parole.â Comment je peux ĂȘtre sĂ»r ?â Tu peux pas.â La cruautĂ© est un remĂšde qui aggrave ses propres blessures sabreur », tenta de le faire changer dâavis Kyochori pour ne recevoir quâun de Genzu devant lâimplacable regard dâIsaĂŻe galvanisa un autre instinct, celui-ci plus puissant que tout autre en ce monde. Les souffrances de la femme sont mĂȘlĂ©es d'amour-propre, mais celles de la mĂšre ne sont que de l'amour meurtri ; son enfant est son espĂ©rance, son inconditionnelle patrie. Une mĂšre c'est l'ange vigilant, il plane doux et bienfaisant sur l'enfance, chasse aux alentours les mauvaises influences qui la menacent, et pose une main blanche sous les pieds roses de son enfant. Que y'avait-il donc d'Ă©tonnant Ă ce que cette mĂšre, prĂ©sentement, s'Ă©lance d'un bon en criant Moi ! Prends-moi ! ». Trois mĂštres sur cinq parcouru vers sa fille auront suffi. IsaĂŻe, lui, n'hĂ©sita pas, tint parole, une vie, pour une vie. Deux couteaux lancĂ©s, lâun dans une gorge, lâautre dans un front, furent le gage de sa promesse. Le cadavre nâavait pas touchĂ© le sol quâil bondit ensuite sur Genzu et frappa en chargeant dans Meisusukin sa fureur. LâAburame nâavait eu que le temps de dire Non ! », mais il esquiva nĂ©anmoins de justesse le coup et derriĂšre, Kieyasu tomba sur ses genoux. Ce quâelle venait voir lui avait tranchĂ© dâun trait les jambes et la voix. Le sabreur tenta immĂ©diatement une seconde frappe qui nâaboutit pas Ă mieux. Recule Genzu ! » hurla Kyochori pour que son ami fasse ce qu'il n'avait pas attendu de faire, car lĂ , lorsque IsaĂŻe fut isolĂ©, il cracha un ocĂ©an de flammes sur lui. Le sabreur fit de la largeur de son arme un bouclier et disparut dans le feu. Kieyasu terrifiĂ©e par la scĂšne retrouva sa voix ArrĂȘtez ! ArrĂȘtez ! » quâelle supplia sans ĂȘtre exaucĂ©e. La tente sâenflamma derriĂšre et les grognements dâIsaĂŻe firent croire Ă chacun que câĂ©tait dĂ©jĂ gagnĂ©. Et quel supplice ! Si peu de choses comparĂ©es aux vĂ©ritables souffrances. Comme l'amour, l'affliction pĂ©nĂštre toujours plus avant dans le cĆur. Au milieu des tourments la douleur est immense, pour qui vit seul et souffre en silence. AprĂšs une grande douleur, rien ne nous Ă©tonne plus, si ce n'est de l'avoir supportĂ©e Quelle horreur. Jâai rouillĂ©. Jâavais oubliĂ©. Mais ce mal est diffĂ©rent, il est diffĂ©rent dâavant. Cette douleur sur ma chair, elle endort lâautre qui se cache en dessous. En fait, câest apaisant. Plus mon corps a mal, moins mon Ăąme crie. Oui, câest apaisant. He he... Si jâavais su ça avant », pensait IsaĂŻe en brĂ»lant. Le jet de flamme cessa, et câest un homme debout, au corps fumant, la peau des bras et des Ă©paules roussies par la chaleur qui leur apparut. On a du bol quâil ne soit pas aussi bon que ça, commenta Kyochori.â Il est toujours debout, elle est endurante la tĂȘte d'ange,... sâĂ©tonna malgrĂ© tout Genzu.â Tâes pas le premier Ă me cracher du feu dessus, resta fiĂšre IsaĂŻe entre ses halĂštements.â Du moment que je suis le dernier.â Crois-moi, je n'aurai pas demandĂ© mieux que de te donner ma vie. Je comprends ta douleur. Elle est lĂ©gitime. Et je suis dĂ©jĂ un peu mort. Mais maintenant que tu as tuĂ© ma femme, je ne peux pas. Je ne peux pas laisser ma fille seule, promit Genzu en faisant un mudra. Je suis obligĂ© de te tuer. Tout ça, tu sais, câest la guerre. Nous sommes shinobi. Toi durant ta carriĂšre, tu nâas jamais tuĂ© de parents ? Si nous nous battons pour savoir qui est innocent ou lĂ©gitime, je crains que nous soyons tous dĂ©jĂ perdus. Mais, peu importe, je ne peux juste pas abandonner ma fille parce que nous sommes coupables tous les deux. MĂȘme si je souffre, pour ma fille, je dois faire face Ă ma souffrance. La haine, tu vois... est le refuge de ceux qui ne supportent pas de faire face Ă leur souffrance.â Genzu⊠se dĂ©sola Kyorochiâ Moi jâai plus rien Ă protĂ©ger. Tu mâas tout pris. Je suis seul. Je n'ai plus que ça. Ma souffrance. Jâai plus rien Ă perdre. Alors quitte Ă crever, je te ferais crever avec moi.â Non, pas tout. Je nâai pris que ta femme.â Quâest-ce tu dis ?â Quand on a attaquĂ© la caravane, elle sâest couchĂ©e sur votre bĂ©bĂ© pour le protĂ©ger de mes insectes. Je ne savais pas quâil Ă©tait lĂ . Ce ne sont pas mes bĂȘtes qui lâont tuĂ©. Câest lâamour de ta femme. Elle a dĂ» l'Ă©touffer sans s'en rendre compte. Je lâai aidĂ©e. Je ne le nie pas. Oui, câest un peu de ma faute aussi. Et de ceux qui nous commandaient. Et de ce monde fou. Tout ça me dĂ©truit. Mais elle l'est aussi. Elle est aussi responsable que moi. Si elle n'avait pas Ă©touffĂ© ses cris, j'aurais stoppĂ© ma technique. Je n'aurai pas pu tuer un bĂ©bĂ©.â Te fous pas de moi ! »La colĂšre n'est point qu'une courte fureur, câest la parente dâune longue folie. Un cri de rage retentit, mais les insectes de Genzu volĂšrent sur IsaĂŻe pour le dĂ©vorer. Son arme en bouclier ne pouvait cette fois le protĂ©ger. Son dos, le sommet de sa tĂȘte, ses bras, le bas de jambes Ă©taient envahis de bestioles qui le dĂ©chiquetaient maintenant lentement. Et lui, il serrait les dents. Sa pensĂ©e filait dans la tempĂȘte. BloquĂ©, il prit la seule dĂ©cision qui lui sembla sensĂ©e. Ă la stupĂ©faction de tous, il sauta dans la tente enflammĂ©e. Un hurlement Ă dĂ©chirer le vent suivit, celui dâun homme en furie, mais Ă©galement le craquement de centaines dâinsectes engloutis par le brasier. Câest alors que pendant un instant⊠Pendant un instant, aux yeux de Kieyasu, de son pĂšre et de Kyorochi, la silhouette de cet homme vacillant dans le cĆur des flammes est apparue comme celle dâun monstre terrifiant... VoilĂ , lorsque les jumelles culpabilitĂ© et vengeance entraient en collision parce que l'absurditĂ© les y poussait, voilĂ , quelque soit l'issue de cet affrontement, ce que veut dire propos du joueurOrigine de votre avatar Griffith de lâĆuvre Berserk de Kentaro MiuraIndiquez votre parrain, si vous en avez un seulement pour le premier compteEst-ce un changement de personnage ? Oui, mon ancien personnage s'appelait Sad. J'ai retrouvĂ© le lien iciEst-ce un double compte ? NonQuelque-chose Ă ajouter ? Non DerniĂšre Ă©dition par IsaĂŻe le Ven 26 AoĂ» 2022 - 1857, Ă©ditĂ© 118 fois Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1308 Bonjour et re-bienvenue sur le forum,Je transmet Ă l'Ă©quipe technique ton sabre pour la validation de ce te plait indiquer de qui es-tu le et au ThĂšme ~ Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1325 Hellow !Nous revenons d'ores et dĂ©jĂ vers toi ce fut rapide haha.Dans l'Ă©tat actuel de la description de ton sabre, il faudrait l'Ă©toffer. Accorder plus de dĂ©tail sur les tenants et les aboutissants du pouvoir que tu souhaites pour ton arme, car avec la description actuel, il s'agit lĂ de quelque chose qui pourrait sans doute ĂȘtre fait par le biais de la Branche discute aussi de si un macuahuitl hors proportion n'est pas plutĂŽt une arme gladiateur. Nous reviendrons vers toi dĂšs que possible soit par MP ou par Discord si entre-temps tu le plaisir_________________~ ThĂšme ~ IsaĂŻeVen 19 AoĂ» 2022 - 1336 Bonjour. Merci de cette vais Ă©toffer ça. Il se trouve que j'avais d'abord songĂ© Ă gladiateur avec cette CS et cette arme, mais j'avais prĂ©sumĂ© apparemment Ă tort que vous alliez considĂ©rer cette arme comme un sabre oĂč une Ă©pĂ©e. C'est autant tranchant que contendant il faut dire. Du coup passer gladiateur ne me dĂ©range pas du le pouvoir je trouvais qu'ĂȘtre capable d'ignorer les blessures Ă©tait dĂ©jĂ puissant. Si je rajoute que la furie permet des boost physique façon porte cĂ©leste cela vous conviendrait-il ? Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1510 Bonjour,Il faudrait plus de dĂ©tail et il faudrait que ça soit inscrit directement dans ton message de prĂ©sentation par le biais d'un EDIT. On souhaite te donner le conseil suivant "Il vaut mieux mettre trop de dĂ©tail que pas assez, l'Ă©quipe technique se chargera de rĂ©duire par la suite"Si je peux aussi t'inviter Ă te joindre au discord, ça faciliterais sans doute la communication, car passer par des rĂ©ponses sur ta prĂ©sentation n'est peut-ĂȘtre pas le moyen le plus adaptĂ© hahaAu plaisir !_________________~ ThĂšme ~ IsaĂŻeSam 20 AoĂ» 2022 - 1335 Bonjour, j'ai Ă©ditĂ© le pouvoir pour le prĂ©ciser et j'ai tĂ©lĂ©charger discord. Je rĂ©itĂšre l'Ă©dition ici Pouvoir Furie â Les blessures subies contraignent des renforcements physiologiques au combattant. Force, vitesse et endurance sont amĂ©liorĂ©es par des dĂ©charges d'adrĂ©naline, d'endorphine et autres altĂ©rations psychiques. Plus les blessures subies sont importantes, plus les boost le sont, plus l'esprit du combattant sombre dans la furie. Il passe progressivement de la colĂšre Ă la folie meurtriĂšre. Au seuil de la mort, le combattant est surhumain, mais n'aura de cesse de lutter jusqu'Ă le franchir. IsaĂŻeMar 23 AoĂ» 2022 - 2353 Bonjour. La prĂ©sentation est terminĂ©e. IsaĂŻe Parolesde la chanson Je veux te dire par Mireille Mathieu. C'est comme une esclave enchaĂźnĂ©e Ă la terre. Et qui aimerait sa chaĂźne. C'est comme les pĂšlerins qui reviennent. Sans jamais se fatiguer. En silence je m'attache. Et je suis l'ombre et tu es la lumiĂšre. Et tout Ă coup je reste sans parole. Parce que tout dĂ©pend de toi. Le deal Ă ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal Immortel Paris L'Ange-Cornu +2SunieAriana6 participantsAller Ă la page 1, 2 AuteurMessageArianaNombre de messages 123Ordre Seth...Date d'inscription 20/08/2007Sujet Comme jadis... Dim 24 Jan 2010 - 1709 La seth Ă©tait confortablement installĂ©e, assise dans l'un des salons privĂ©. Elle devinait que son compagnon prĂ©fĂšrerais l'ambiance plus rĂ©servĂ©, et surtout, l'absence de regards dĂ©sagrĂ©ables. Bien assise sur les coussins moelleux, car chaque salons avaient un ameublement diffĂ©rent, elle buvait tranquillement un verre d'absinthe, souriant de ses dents de fauve, sa langue fourchue de vipĂšre dardant l'air autour d'elle. DĂ©cidĂ©ment, elle se sentait bien a Paris. Mais il faisait trop froid...dĂ©cidĂ©ment. Et dans ces moments ou la tempĂ©rature extĂ©rieure Ă©tait trop basse, la seth se trouvait dans un Ă©tat semi comateux, seul ses yeux se dĂ©plaçant, observant les alentours. LovĂ©e, elle attendait. Et qui d'autre que ClĂ©menceau venait la dĂ©ranger aurait affaire a elle...Mais qui voudrais se frotter a une dame a l'allure d,assassin? Et comme il n'y avait que trĂšs peu de moltanor en ville, pas la peine de s'angoisser. Rare Ă©tait les immortels qui apprĂ©ciait la compagnie des seths et de leur allure de serpents. Et ce n'Ă©tait pas aujourd'hui qu'ils allaient faire diffĂ©rent. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Ven 29 Jan 2010 - 1848 La lourde porte de l'Ange Cornu s'ouvrit aprĂšs un court Ă©change verbal entre le portier et quelqu'un qui cherchait apparemment Ă entrer. Sunie passa alors le cadre pour enfin rĂ©ussir Ă entrer dans l'auberge d'immortels, Ă peine eu-t-elle fait un pas que, tout en fermant la porte, SamaĂ«l lui dit"Je doute d'avoir fait le bon choix en te laissant entrer, j'ai une mauvaise impression Ă ton propos, sans compter que ton mot de passe n'est plus valide. La seule chose qui fait que je te laisse entrer est que tu est une immortelle sans aucuns doutes et que ton visage me dit quelque chose, n'oublie pas le mot de passe que je viens de te dire car je ne serais pas aussi clĂ©ment la prochaine fois."Sunie acquiesça et observa un peu l'intĂ©rieur avant de s'y avancer. Elle avait changĂ©, Ă peine quelques mois avaient passĂ©s depuis que Vilya lui avait rendu l'usage de ses jambes et elle marchait dĂ©jĂ comme avant. Sa silhouette avait changĂ© d'autant qu'elle arrivait Ă se tenir droite maintenant, sa posture ne trahissant plus son ancien handicap. Elle portait un Ă©pais manteau de fourrure de castor qui lui arrĂȘtait aux genoux pour se tenir au chaud. Ses cheveux noirs semblaient avoir encore pris en taille, arrĂȘtant autrefois Ă ses hanches, elle les arboraient maintenant jusqu'Ă la mi-cuisse tout en les laissant dĂ©tachĂ© en permanence. Elle portait son traditionnel maquillage rouge et avait fait particuliĂšrement attention Ă ne pas manquer un seul trait. Un Ă©tui de cuir sous le bras elle se dirigea vers une table libre prĂšs du centre de la salle et s'y assis, laissant son manteau sur le dossier de la chaise voisine. Elle portait une grande robe entremĂȘlĂ©e de rouge vin et de noir dans laquelle elle Ă©tait sublime. Cela n'empĂȘchait pas la majoritĂ© des gens dans la salle de la regarder comme si elle fut une humaine, c'est-Ă -dire comme si elle ne collait pas au dĂ©cor et n'avait rien Ă y faire. Quelques personnes Ă©changĂšrent de courtes phrases afin de savoir si quelqu'un la connaissait, ceux qui Ă©taient plus loin semblaient soit curieux ou ennuyĂ© par son absence d'aura. Ceux qui Ă©taient plus prĂšs semblaient plus sur les nerfs, agressifs voir, car son aura ne collait avec aucune de celle qu'elle devrait avoir en tant qu'immortelle. Elle ouvrit son Ă©tui et le regard de plusieurs passa de l'agacement au questionnement lorsqu'elle en sortit son violon. Celui-ci, au contraire de sa propriĂ©taire, n'avait pas changĂ© pour un sou, fait de l'Ă©bĂšne de la meilleure qualitĂ©, avec ses reliures de bronze reluisantes et ses gravures en or. l'archet qui suivit Ă©tait beaucoup plus banal, un archet des plus normal qui pouvait ĂȘtre achetĂ© pour une poignĂ©e de francs probablement. Sunie regarda autour d'elle un instant et remarqua que la plupart des regards Ă©taient fixĂ©s sur elle, la majoritĂ© Ă©taient curieux mais certains demeuraient alertes, prĂȘts Ă tout. Sunie se leva debout et plaça le violon sous son menton et porta lentement l'archet sur les cordes, elle testa dĂ©licatement chacune d'entre elle, toujours et encore accordĂ©es. Elle laissa ensuite le flot de ses Ă©motions guider l'archet, la chanson n'Ă©tait pas joyeuse, ni triste, la peur, le rejet et la mĂ©lancolie y Ă©tait omniprĂ©sente mais on pouvait y trouver l'espoir. Tant d'Ă©motions Ă©taient charriĂ©s par le son du violon, tranquillement les gens se rassirent, Ă©coutant la mĂ©lodie bien que certains n'eut aimĂ© pour rien au monde le violon, ils Ă©coutaient tout de mĂȘme, l'endroit devenant silencieux d'un seul coup. Sunie l'ignorait mais son violon avait la facultĂ© de catalyser sa prĂ©sence, rendant le son non pas hypnotique, mais le rendant capable de transmettre les Ă©motions. Ă cet instant son aura Ă©tait presque palpable, si fort mais fragile Ă la fois, il ne quittait pas la salle toutefois, le son ne pouvant porter son pouvoir plus joua durant un bonne dizaine de minutes, n'arrĂȘtant de jouer que lorsqu'elle en sentit le besoin. Ă ce moment, tout les gens de la salle et mĂȘme certains des salons Ă©taient prĂ©sents et Ă©coutaient, certains avaient les larmes au yeux, d'autres semblaient perdus dans leurs souvenirs, aux moments de leur longue vies marquĂ©s par ces Ă©motion. Une fois terminĂ© elle rangea l'archet puis le violon dans l'Ă©tui et se rassit, laissant les gens revenir Ă eux-mĂȘme, son aura se rĂ©sorbant lentement suite Ă l'arrĂȘt de la musique. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 31 Jan 2010 - 1544 Le portier eut une crise de cĆur lorsqu'il vu l'ange de la mort. Il atterrit devant l'ange cornu comme un ange noir, sorti tout droit des cieux. Ses ailes noires et son regard froid. Cypher plongea son regard dans celui du mortel, la voie caverneuse de la crĂ©ation rĂ©sonna dans le crĂąne du pauvre homme "Soit tu ouvre cette porte, soit je te tue et je l'enfonce avec ton cadavre."l'homme fixa devant le Valkar armĂ© de sa faux. Il n'avait pas l'air de bonne humeur. Samael... tĂ©taniser par le colosse qu'il avait devant lui ouvrit. "Je ne veux pas tuer ta race, mais je viens simplement chercher quelqu'un. Si tu fais quoique ce soit, je te tuerais. J'exterminerai Ă©galement, les immortels que tu cache dans ton refuge. SI tu ne veux pas de bain de sang, tu ferme ta gueule et tu me laisse faire mon travail."Il garda le mĂȘme regard froid en passant Ă cĂŽtĂ© du portier. La figure fantomatique du Valkar avança Ă travers les tables. Les immortels regardĂšrent la crĂ©ature sans trop savoir quoi penser. Il Ă©tait pied nu, ne portait qu'une toge comme vĂȘtement. Son regard Ă©tait vide, sans par l'Aura de sa proie, Cypher, avança jusqu'Ă la table de Sunie. Il resta plantĂ© devant, le corps droit comme une barre de fer et le visage sans la moindre traces d'Ă©motions. Machinalement, il finit par dire d'un ton froid et direct "Vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre, immortelle hybride." VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 1701 Vigortsen avait Ă©tĂ© surpris d'entendre un violon. Il sortit des toilettes oĂč il Ă©tait allĂ© se dĂ©barbouiller puisque rentrant d'une poursuite d'un criminel mortel qui c'Ă©tait terminĂ©e pour se dernier derriĂšre les barreaux. A peine fut-il sortit qu'il reconnu Sunie, SA Sunie, jouant sur un superbe violon en Ă©bĂšne. Il s'adossa Ă la porte, en retrait dans l'ombre pour ne pas la perturber et fut embarquĂ© par les sentiments de sa jeune arrĂȘta de jouer, il resta dans le vague des Ă©motions durant quelques minutes, l'observant s'asseoir sur sa chaise. Il fini par se dĂ©cider Ă la rejoindre lorsqu'un immortel aux sombres ailes et Ă la feau menaçante s'approcha d'elle. Il n'aimait pas ce personnage pieds nus vĂȘtu d'un bout de tissu crasseux, il l'aima encore moins lorsqu'il entendit ce qu'il dit Ă Sunie. *Qu'est-ce que c'est que cette histoire de rendez-vous?* Se dit-il amĂšrement. L'instinct lui conseilla d'ĂȘtre mĂ©fiant, aussi dĂ©cida-t-il de se diriger vers la porte du en marchant, il glissa une main dans la poche droite de son manteau et referma la main sur la paire de menottes. Il se dĂ©plaçait silencieusement, l'air de rien. Son comportement ne pouvait le trahir puisqu'il avait l'habitude de suivre ses cibles et que jamais il n'avait Ă©tĂ© repĂ©rĂ©. Lorsqu'il passa Ă quelques mĂštres dans le dos de l'immortel ailĂ©, il jeta un regard Ă sa douce et lui fit un clin d'oeil. Ce petit signe disait *Ne t'inquiĂšte pas, je suis lĂ *. Il attrapa sa biĂšre sur la table et s'adossa Ă un pilier, seulement cinq mĂštres derriĂšre toujours dans la poche fermĂ©e sur les menottes, il attendit prĂšs Ă bondir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 2029 Cypher regarda l'arriver de virgotsen d'un air froid et impassible. Il vu de coin de l'Ćil cette ĂȘtre peu plaisant. Il Ă©tait sur ses gardes. Comme de nombreux immortels dans l'auberge d'ailleurs. Il gardait nĂ©anmoins le regard sur Sunie. Il parlait machinalement en gardant un ton froid. "Je me rĂ©pĂšte, vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre Aemon Targaryan. Sur son ordre, je dois vous mener Ă lui. Je n'ai pas reçût de directive sur la maniĂšre de vous conduire Ă lui. Je ne cherche pas Ă faire un massacre, mais les ordres de mon maĂźtre sont immuables. Je vous demande donc de me suivre, de votre plein grĂ©. Sans quoi hĂ©las, je devrai prendre des parla Ă l'attention de la foule. "Je n'ai aucune instruction sur vous, immortels. Je ne suis venu que pour reconduire madame. Je ne pense pas que personne ici n'a d'objection ? d'ailleurs, la dĂ©cision vous reviens." SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1347 Sunie terminant de ranger son violon lorsque SamaĂ«l laissa entrer un ĂȘtre Ă©trange qui ne semblait pas ĂȘtre le bienvenu. On aurais dit un cadavre tant sa peau Ă©tait terne et ses habits laissaient vraiment Ă dĂ©sirer. Il avait quelque chose de terrifiant, sa posture, son ton, mais surtout sa faux ne lui donnaient pas un aspect trĂšs commode. Lorsqu'il se dirigea vers elle Sunie se figea, que pouvait-il bien lui vouloir. Lorsqu'il s'adressa Ă elle, son ton lui glaça le sang, il Ă©tait plat et fixe, comme une machine et cet homme connaissait ses origines hybridĂ©s, qu'Ă©tait-il donc. Il lui dit qu'elle avait un rendez-vous avec quelqu'un puis, lorsqu'elle ne lui rĂ©pondit pas, il ajouta que ce n'Ă©tait pas un rendez-vous mais bien une demande Ă ne pas refuser. Il ne semblait pas trĂšs amical, menacer la foule d'immortels prĂ©sents dans l'ange cornu n'Ă©tait pas une mince affaire. Elle avait vu Vigo, quand elle avait croisĂ© son regard celui-ci lui avait fait un clin d'Ćil pour qu'elle sache qu'il Ă©tait lĂ et prĂȘt Ă agir. Sunie rassembla tout son courage et s'adressa au valkar lui faisant face"Je suis dĂ©solĂ©e de vous dire que votre *rendez-vous* ne m'intĂ©resse pas, je ne connais pas votre maitre et je n'ai donc rien Ă lui dire, en plus vous me parlez sans vous prĂ©sentez et vous voulez que je vous suive sans discutions, non mais quel manque de classe. Vous croyez vraiment que je vais suivre quelqu'un d'armĂ© et qui me menace sciemment d'utiliser la force si je suis contre. Partez d'oĂč vous venez oiseau de malheur, vous gĂącher l'ambiance."Sunie ne savait pas trop si c'Ă©tait une bonne idĂ©e de refuser mais elle n'allait tout de mĂȘme pas suivre cette chose qui semblait ĂȘtre un valkar mort. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1712 Vigortsen grimaça lorsqu'il entendit la rĂ©ponse de Sunie, cela ne prĂ©sageait rien de particuliĂšrement bon. Si le valkar l'Ă©nervait trop, il risquait de voir Liliana prendre le contrĂŽle, et lĂ tout aussi puissant qu'il fĂ»t c'est Ă©tait fait de lui, Ă coup voici que l'autre s'adressa Ă toute l'assemblĂ©e. Lorsqu'il demanda si quelqu'un voyait une objection Ă se qu'il embarque Sunie, Vigo s'Ă©tait dĂ©jĂ Ă©lancĂ©. N'Ă©tant qu'Ă cinq mĂštres et dans une salle basse de plafond, le Valkar pour peu qu'il remarque Vigo qui se trouvait dans son dos, ne pourrait user de ses ailes. Mais Ă la vue de la distance qui les sĂ©paraient, de l'habiletĂ© de Vigo Ă fondre en silence sur sa proie et du fait que l'autre lui tournait le dos, c'Ă©tait presque impossible qu'il fasse quelque chose, d'autant que l'endroit Ă©tait fort allait user d'une technique d'apprĂ©hension fort peu commune. Il allait user du poids du valkar contre lui. Au dernier instant de sa course, il fit une glissade afin de faucher les chevilles de l'oiseau maudit. Cela comportait plusieurs le valkar sautait juste avant que vigo ne le fauche, ne pouvant user de ses ailes, il retomberait sur lui, mettant ses chevilles Ă portĂ©es des rĂ©ussissait Ă se rattraper plus ou moins aprĂšs avoir Ă©tĂ© fauchĂ©, Vigo n'aurait qu'Ă tendre la main pour lui passer les menottes aux tous se passait comme prĂ©vue, le valkar tomberait en arriĂšre et viendrait s'emprisonner tout seul dans les menottes, grace Ă son propre le valkar Ă©tait assez rĂ©actif pour sauter en avant, Vigo le cueillerait Ă l'atterrissage grĂące Ă une sautait en arriĂšre, se serait encore plus facile, il lui suffisait d'attendre que les chevilles passent Ă portĂ©es de ses passer les menottes Ă©tait LA spĂ©cialitĂ© de trĂšs rapide, l'effet de surprise Ă©tait total du fait de l'attaque totalement silencieuse que Vigo tous les cas, Vigo avait fait sortir sa lame de sa manche, prĂšs Ă l'utiliser si besoin ce qui normalement ne devait pas ĂȘtre le cas. Si tout se dĂ©roulait bien, Vigo aura passĂ© les menottes avant mĂȘme de devoir user de sa lame. En thĂ©orie, le valkar n'avait aucun moyen d'Ă©chapper aux menottes grĂące Ă cette attaque et une fois qu'il serait prisonnier ne serais-ce que de l'un des bracelets, tous ses pouvoirs seraient annulĂ©s. Il deviendrait simple mortel ailĂ© et armĂ© d'une valkar Ă©tait idiot. En entrant dans la taverne, il annulait sa plus grande force, celle de Ă©dition par Vigortsen le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 300, Ă©ditĂ© 2 fois CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1853 Cypher regarda la demoiselle, il n'en avait vachement rien Ă faire. Il Ă©couta les paroles de l'hybride sans la moindre expression faciale. Il en avait rien Ă foutre de la ramener en morceau. il allait poursuivre sa conversation lorsque Virgotsen fonça en direction de l'immortel. il effectua un placage, dans un plus grand des silences, avantages que les sens amĂ©liorĂ©s de Cypher soit toujours actifs. il effectua donc son placage et tenta de faucher les chevilles du Valkar. Sa tentative de placage ne s'effectua cependant pas, comme il l'avait prĂ©vu. Lorsque l'attaque principal de Virgotsen fut effectuĂ©, Cypher d'une simple action de pensĂ© activa sa vitesse surhumaine. ContrĂŽlant celle-ci avec la maĂźtrise d'un MarĂ©chal, il propulsa son corp d'un saut rapide et ne utilisant son dernier pouvori de cĂ©lĂ©riter plana un peu un plus loin. Il contourna avec une agilitĂ© et une vitesse surprenante le corps de Virgotsen qui ce relevait de son placage. Avec une vitesse surnaturelle, il lui porta un coup de pied ossature mĂ©lange entre du titane et de l'acier - poids total du corps environ 3 tonnes. Il stoppa directement Ă quelques dizaines de mĂštres du Luna. il avait peu ĂȘtre perdu ses ailes, mais la cĂ©lĂ©ritĂ© d'ArnĂ©us Valkar avait Ă©tĂ© sa spĂ©cialitĂ©. DerniĂšre Ă©dition par Cypher le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 1549, Ă©ditĂ© 1 fois SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 10 FĂ©v 2010 - 2343 Sunie ne vit pas Vigo se prĂ©parer et fut surprise lorsqu'il s'attaqua Ă ce drĂŽle d'oiseau. Mais lui apparemment ne fut pas surpris le moins du monde et esquiva sans mal l'attaque tout de mĂȘme bien planifiĂ© de Vigo. Ce n'Ă©tait pas tant sa vitesse de rĂ©action qui l'Ă©tonna mais la force avec laquelle il envoya Vigo valser contre le mur en un seul coup de pied. Sur le coup Sunie figea sur place, il venait tout de mĂȘme de frapper son amant mais pourquoi avait-il fait cela. Puis une fraction de seconde plus tard elle Ă©tait Ă cĂŽtĂ© de lui pour essayer de le rattraper avant qu'il ne tombe au sol. Comment elle avait fait cela, elle n'en avait pas la moindre idĂ©e, mais elle rĂ©ussit, sans toutefois rattraper Vigo, Ă empĂȘcher celui-ci de se cogner lourdement Ă terre. Ă peine la scĂšne reprenait sa vitesse normale et que les gens s'exclamaient de ce qui venait de se passer que Sunie Observait Vigo sous toutes ses coutures pour voir s'il Ă©tait blessĂ©."Vigo, ca va, pourquoi t,a fait ca, fallait pas, ca va?"Elle resta ainsi dos Ă Cypher afin de s'occuper de Vigo, elle n,en Ă©tait pas moins alerte mais son amant Ă©tait peut-ĂȘtre blessĂ© et elle tenait Ă s'occuper de lui s'il Ă©tait blessĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2024 Vigortsen ne compris pas complĂštement ce qu'il se passa. Il reçu un coup de pied extrĂȘmement violent qui l'envoya voler un peu plus loin, il s'Ă©crasa contre le mur, mais grĂące Ă une paire de mains, il ne s'Ă©croula pas trop mĂ©chamment au sol. C'est donc un peu sonnĂ© et les cottes endoloris qu'il se redressa sous le regard de Sunie."Ca va, ça va, merci. Il frappe fort le bougre."Il posa sa main sur l'une des Ă©paules de Sunie et nota la couleur jaune de ses yeux. Il se redressa, chancela briĂšvement avant de se mettre debout puis regarda Sunie. Il lui parla dans un murmure Ă peine audible mĂȘme pour elle."DĂšs que tu le peux, sauve toi et fonce chez moi, je te rejoins."Puis immĂ©diatement aprĂšs, il se tourna vers le "valkadavre", se postant devant sa compagne. Il avait eu suffisamment de rĂ©flexes pour ne pas lĂącher ses menottes lors de son Ă©chec. En revanche, il avait eu beaucoup de chance de ne pas s'empaler lui mĂȘme sur sa propre plongeĂąt ses yeux dans ceux de l'oiseau et ce dernier pouvait y lire la dĂ©termination et la colĂšre."Au cas ou cela t'aurais Ă©chappĂ© oiseau de malheur, elle ne veut pas te suivre. Si ton maitre veut lui parler il n'a cas se bouger le cul au lieu d'envoyer son chien de garde. Menacez encore une fois ma compagne et vous ĂȘtes une volaille morte qui me servira de dĂ©jeuner Ă NoĂ«l."Il Ă©tait bien remontĂ© et attendit la rĂ©ponse Ă©ventuelle de l'autre. Il reculait doucement vers la porte en poussant Sunie dans cette direction, toujours en se tenant entre elle et le valkar. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2126 [i]Cypher fut trĂšs surprit de ne pas avoir causĂ© plus de dĂ©gĂąts. Dommage... il aurait aimĂ© rendre le combat rapide. Puis, il vu l'immortel qui s'Ă©levait devant lui. Bravoure ? Cela ne voulait rien dire pour l'ancien Valkar. " Tu parle immortel ? Dommage que de part mon coup, je n'aille pas couper ta langue. Sa m'aurait Ă©viter d'entendre tes menaces. Moi un simple poulet ? Je te trouve bien faible, pour voir Ă©tĂ© projeter si loin, par une simple poule. D'ailleurs, j'ai trĂšs mauvais goĂ»t. De nombreux immortels, s'y sont cassĂ©e bien des dents. "Lorsque Virgotsen poussa Sunie vers la porte, l'ange de la mort poussa un soupir. Il regarda rapidement le plafond... deux Ă©tages... hummm...plancher de bois verni ? " Elle peut courir, mais elle ne peut rien contre moi, ou mon maĂźtre. TĂŽt ou tard, mon maĂźtre viendra la quĂ©rir. Alors ? Tu vas t'Ă©carter ? OĂč je vais ĂȘtre obligĂ© de dĂ©truire ton code gĂ©nĂ©tique ? Je nâai aucune objection Ă te combattre, mais mon devoir n'est pas de te tuer."[/i] Aemon TargaryenNombre de messages 115Date d'inscription 07/11/2009Sujet Re Comme jadis... Mar 16 FĂ©v 2010 - 009 Une ombre Ă©tait poster dans la pĂ©nombre. L'attente Ă©tait terrible mais le grabuge Ă l'intĂ©rieur de l'Ă©tablissement laissait prĂ©sager que le plan avait bel et bien mis en marche pour la capture de l'hybride. Ă la moindre vue de la sortie de celle-ci l'ombre entrerait en action. Attendant sa proie avec impatience avec une salve d'anesthĂ©siant dans ses deux mains au moindre cri Marcus se tenait prĂȘt ainsi que Targaryen juste sur le mur oĂč menait la porte que sa crĂ©ation avait emprunter. Bien sur il pourrait entrer mais il valait mieux passer inaperçu pour le moment. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 17 FĂ©v 2010 - 1149 Sunie recula derriĂšre Vigo et le laissa la pousser vers la porte, aprĂšs tout comment pouvait-elle espĂ©rer faire quoique ce soit, elle n'utilisait ses pouvoirs que de façon instinctive et souvent ceux-si ne voulaient pas fonctionner lorsqu'elle le voulait. Leur position n'Ă©tait pas prĂ©caire mais vu la vitesse Ă laquelle le valkar bougeait, elle pouvait le devenir bien vite. Sunie regardait le dos de Vigo, se rappelant toutes les cicatrices qu'elle y avait vu, voulait-elle vraiment qu'il se risque Ă en cumuler une autre, ou pire. Mais elle savait qu'aller avec cette chose qui ressemblait Ă un valkar ne pouvait que lui amener des problĂšmes, peu importe qui Ă©tait son maitre, elle ne voulait pas finir comme cet homme. Mais que faire?Soudain tout devint noir, un noir d'encre insondable, seule une petite lueur rouge brillait au loin, semblant ĂȘtre Ă des kilomĂštres. En un clin d'Ćil la lueur Ă©tait devant elle, une belle orbe rouge sang similaire Ă du verre, la lumiĂšre provenait du plus profond de la petite sphĂšre qui devait ĂȘtre grosse comme le poing. Sunie tendit la main vers celle-ci et entendu une voix, la voix qu'elle damnait Ă chacune de ses pertes de contrĂŽle, la voix de sa NĂ©mĂ©sis, Liliana."Alors, dans le trouble encore une fois?"Elle ne semblait toutefois pas aussi haineuse qu'Ă l'habitude, plutĂŽt irritĂ©e et ironique. Sunie ne savait pas trop quoi faire, elle regarda autour, Ă perte de vue il n'y avait rien, pas de sol, pas de murs, que cette petite orbe. Qu'allait-elle donc faire avec elle, Ă chaque fois qu'elle lui parlait elle se sentait faible et Liliana lui volait les commandes mais cette fois il n'en Ă©tait rien."Alors, il t'as coupĂ© la langue sans que tu t'en rendre compte?""Non, qu'est-ce que tu veux salle garce."Liliana Ă©clata de rire"Alors, tu n'as rien d'autre Ă faire que m'insulter? Qu'est-ce que tu compte faire contre cet espĂšce de valkar, pleurer, demander Ă maman de venir t'aider? Pour une fois que je te demande ton opinion, t'as pas Ă te plaindre.""Quelle sournoiserie es-tu en train de me faire cette fois? OĂč est-ce qu'on est en premier, pourquoi tu n'a pas pris le contrĂŽle tout de suite comme Ă ton habitude espĂšce de pute.""Mais ma parole, arrĂȘte de me jeter des compliments, tu va me faire rougir. Je t'offre de l'aide et tu ne semble pas comprendre que je suis autant en danger que toi, Ă ce que je sache on a encore le mĂȘme corps, non? Alors tu va me laisser contrĂŽler pour lui foutre une raclĂ©e parce que ton baiseur professionnel d'amoureux m'a... BlessĂ©e avec ses menottes Ă la con, normalement je crois que nous devrions nous voir face Ă face en reflets de miroirs, voilĂ ce qu'il me reste, pas beaucoup j'en consent mais je suis encore lĂ et moi je les contrĂŽle les pouvoirs, pas toi.""Et alors, ce n'est pas ton corps, c'est le mien, Ă chaque fois oĂč tu prend le contrĂŽle tu fout tout en l'air et tu fait des choses qui me dĂ©goutent. Et si tu est si faible, comment tu ferais pour garder le contrĂŽle de toutes façons."C'est lĂ le problĂšme j'ai besoin de toi, je ne dit pas que je t'aime et t'embrasserais, j'ai besoin de toi et sa s'arrĂȘte lĂ . Tu as tout ce qu'il me manque prĂ©sentement, le contrĂŽle, l'Ă©nergie, la vigueur, vois tout ce qu'il me reste, je peux Ă peine survivre. Et je ne voudrais pas jouer les casse-pieds mais si je meurs tu ne vaudra pas mieux, tu mourras aussi. Alors, devant l'impasse, il ne reste qu'une seule option, accepte moi, intĂšgre moi, ne faisons qu'une, nous serons plus fortes et tu pourra survivre, n'essaye pas de dire qu'il y a une autre issue, tu l'as goutĂ© aussi bien que moi, il y a une autre personne de l'autre cĂŽtĂ© de la porte, les effluves de l'air de mentent pas."Sunie se tut, elle avait raison... mais qui lui disait que ce n'Ă©tait pas une autre de ses sournoiseries bien mieux planifiĂ©e que les autres, aprĂšs tout n'Ă©tait-ce pas sa spĂ©cialitĂ©, mentir et tromper? Il y avait beaucoup Ă perdre qu'elle dise oui ou non, ce valkar ou bien la garce qui partageait son corps, ne restait qu'Ă savoir lequel reprĂ©sentait le plus grand mal."Alors tu dit que tu veux m'aider, pourquoi, qu'est-ce que tu as Ă y gagner quelle conneries vas-tu faire?""Rien, pense-tu vraiment que je puisse faire quoique ce soit aussi affaiblie? Je prend ton estime comme un compliment mais j'ai Ă peine la force de me garder en vie, encore moins celle de te dominer comme Ă l'habitude, fait moi confiance, je ne pourrais pas faire plus de dĂ©gĂąts que ce que j'ai dĂ©jĂ fait."AussitĂŽt que Liliana prononça le mot confiance Sunie Ă©clata de rire"Moi, te faire confiance? PlutĂŽt mourir aprĂšs une longue agonie."Liliana soupira, Sunie ne semblait pas comprendre Ă quel point sa situation Ă©tait prĂ©caire, ses forces s'amenuisant Ă simplement lui parler, la taille de l'orbe diminuant peu Ă peu. Pour la premiĂšre fois SUnie lut de la franchise et non de la malice dans la voix de Liliana"Ăcoute, c'est ta derniĂšre chance, si tu ne dit pas oui je vais mourir et tu peux parier que je t'emmĂšne avec moi dans la tombe. Sois tu accepte de devenir une seule personne avec moi ou tu meurs avec moi, n'est-ce pas simple.""Tu as l'air tellement sincĂšre que je te croirais, si seulement tu ne m'avais pas pourrie la vie autant, peut-ĂȘtre que j'aurais dit oui, maintenant laisse moi partir d'ici."Un autre soupir de la part de Liliana"TrĂšs bien, tu me pousse dans mes derniers retranchements. Ne dit pas que tu ne l'aura pas cherchĂ©."L'orbe fonça alors sur Sunie, la percutant Ă la poitrine, projetant celle-ci Ă une distance qui lui sembla incroyable. Lorsque Sunie se releva elle ne voyait plus la sphĂšre rouge mais la lueur semblait Ă©mettre de son propre corps dĂ©sormais. Sunie se demandait quelle sournoiserie Liliana avait encore commise, lorsqu'elle se sentit mal, sa tĂȘte semblant vouloir exploser tant la douleur Ă©tait ceux qui l'observait, Sunie sembla absente quelques fractions de secondes, le regard dans les vapes. Puis elle s'effondra sur le sol sans plus de cĂ©rĂ©monies, son aura disparaissant d'un seul coup, ses yeux affichant alors la seule couleur qu'ils n'avaient jamais pris, le noir. Quiconque aurait pris le temps de regardĂ©, il aurait constatĂ© qu'elle ne respirait plus . Graduellement, son corps s'enveloppa d'une fumĂ©e noire et malodorante disparaissant de vue en quelques secondes. La fumĂ©e, toutefois, n'arrĂȘta pas son avancĂ©e et se rependit tel un tapis de brume sur le sol de l'auberge. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 FĂ©v 2010 - 1810 Son regard dorĂ© transperçait littĂ©ralement le valkadavre de ses reflets jaune comme deux Ă©tincelles devant un chalumeau, prĂȘts Ă cracher de gigantesques flammes. Si ses yeux nâĂ©taient pas particuliĂšrement terrifiants, on devinait une bonne puissance et une trĂšs forte dĂ©termination. Ainsi, le dĂ©nommĂ© Cypher put lire dans ces yeux que sâil voulait embarquer Sunie de force, une lutte terrible Ă©claterait en prĂ©ambule. Câest lâun des pouvoirs que confĂšre lâamour, celui de multiplier la force, la puissance et la dĂ©termination lorsque lâĂȘtre tant aimĂ© est menacĂ©. De la mĂȘme maniĂšre quâune mĂšre est prĂȘte Ă donner sa vie pour sauver ses enfants, un amant irait jusquâĂ condamner son Ăąme pour sauver sa distinguant tout cela dans les yeux de Vigortsen, le valkar put noter une autre chose, lâabsence totale de peur, ce qui le rendrait encore plus farouche et dĂ©terminĂ©. Il put Ă©galement sentir que si lâamoureux de Sunie devait frapper, ce serait pour faire sentait sa douce reculer dans son dos, mais il sentait Ă©galement quâelle le faisait avec hĂ©sitation. Aussi, passa-t-il sa main gauche dans son dos et attrapa celle de lâhybride quâil serra fort. Il tourna alors la tĂȘte, gardant son Ćil droit sur le valkar et lui murmura quelques mots. - Je tâais jurĂ© que jamais je ne laisserais personne te faire du mal et que je ferais tous pour que lâon ne tâen fasse pas. Ne mâempĂȘche pas de tenir ma promesse quelle quâen soit lâissue. »Il serra un peu plus fort encore la douce et tiĂšde main avant dâajouter - Je tâaime mon cĆur. »Alors reprit le bras de fer que les deux immortels se lançaient du regard. Puis Vigo sentit quelque chose. Un bruit retentit derriĂšre lui, un bruit inquiĂ©tant. Il se retourna brusquement pour voir sa belle Ă©croulĂ© au sol, sa cage thoracique ne bougeant plus. Elle ne respirait devint comme fou et se jeta Ă genou Ă ses cĂŽtĂ©s. Ses yeux, noirs comme les tĂ©nĂšbres, une couleur quâil ne leur avait jamais vue et qui lui glaça le sang. Une larme perla et câest dans une rage titanesque quâil se redressa, lentement avant de faire face Ă lâauteur prĂ©sumĂ©. Pour lui, seul le valkadavre pouvait ĂȘtre responsable de cet Ă©tat. Il avait due user dâun pouvoir obscur quelconque et maintenant sa raison de vivre, son cĆur Ă©tait visiblement morte. - Quâas-tu fais engeance dĂ©moniaque ? Que lui as-tu fais ? TU ES MORT ! »Les derniers mots avaient Ă©tĂ© prononcĂ©s dans une sorte de rugissement. Une voix mĂȘlant humain et loup. Vigo ne dĂ©sirait plus quâune unique chose, atomiser le piaf. Aussi laissa-t-il sa place Ă son second lui, un Ă©norme loup-garou couleur de lâor de prĂšs de deux mĂštres cinquante de haut. A la grande surprise de Vigo, il put garder le contrĂŽle de la bĂȘte ce qui Ă©tait habituellement impossible. Il se rendit alors compte que sa fureur Ă©tait telle que lâĂąme de la bĂȘte Ă©tait terrĂ©e dans son coin, ne se rendit pas immĂ©diatement compte de la fumĂ©e noire et poussa un rugissement de fureur pure qui fit trembler le bĂątiment. La gueule grande ouverte, il dĂ©voila ses dents dont les plus grandes, les canines Ă©taient de la taille dâun poing fermĂ© du valkar. Son hurlement durant vingt bonnes secondes, secouant toutes les personnes prĂ©sentes et leur hĂ©rissant le poil. Puis il fit claquer sa mĂąchoire dans un CLAC » sec et la fumĂ©e lui enveloppa les pattes arriĂšre et il se retourna de avait disparue, invisible dans les volutes de cette Ă©trange fumĂ©e noire. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 20 FĂ©v 2010 - 2021 Deimos... SaletĂ© de cochonnerie. Comment... ah oui, elle est hybride. Cypher ce questionna un moment, Quel clan Ă©tait-elle ? Enfin... Cypher d'un puissant coup d'ailes, propulsa l'air. Comme un grand Ă©ventail, il propulsa la fumĂ©e dans le coin de la salle. Cette tentative avait pour but de simplement faire disparaĂźtre la fumĂ©e. Il regarda un court instant le plafond... Bonne idĂ©e. Puis... le Luna dans un rugissement bestial, transforma son corps en forme de guerre. Contrairement aux Sadizar, les Luna contrĂŽlaient leur forme de guerre. Au moins, les menottes ne serait plus un problĂšme, comment pourrait t'il les utiliser avec des aussi grosse pattes ? Cependant, les griffes de Virgotsen... risquait de lui faire mal. Durant les 20 secondes, ou le Luna hurlait, il en profita pour s'injecter une seringue. Puis d'une voie grave " En plus d'ĂȘtre une erreur de la nature, tu est complĂštement stupide. Tu pense me vaincre ? Parfait. Cependant, tu sera mort pour rien. Je n'ai rien fait Ă cette hybride, elle a simplement utiliser le pouvoir de Deimos, des SĂ©thites. Tu veux donc toujours de battre ? BĂȘte ?"Il chargea sa cĂ©lĂ©ritĂ©, concentra son pouvoir et prĂ©para son corps Ă esquiver. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mar 2 Mar 2010 - 1314 Le temps Ă©tait flou, depuis combien de temps Ă©tait-elle lĂ , qui Ă©tait-elle donc, laquelle des deux femmes dont elle avait les souvenir Ă©tait vraiment elle, comment savoir? D'ailleurs que c'Ă©tait-il passĂ©, pourquoi n'arrivait-elle pas Ă se rappeler qui elle Ă©tait, ce qui venait de se passer ou encore tout ce qui prĂ©cĂ©dait ses interrogations. Tout cela Ă©tait des plus Ă©trange, comment cela pouvait-il arriver. Elle se dĂ©cida finalement Ă ouvrir ses yeux mauves et fut surprise de ne voir qu'une sorte de brume noire, oĂč pouvait-elle bien ĂȘtre. Au bout de quelques secondes le brouillard se dissipa et elle pu voir ce qui l'entourait, elle ne fut pas Ă©tonnĂ©e de voir tant de gens tout comme de voir cette Ă©trange crĂ©ature poilue devant elle ou encore cet Ă©trange homme ailĂ© plus loin. Qui pouvait donc ĂȘtre tout ces gens? Elle rĂ©flĂ©chit quelques instants puis se rĂ©signa Ă chercher dans les souvenirs Ă©tranges et sans sens des deux femmes qu'elle semblait si bien connaitre. Elle chercha une Ă©ternitĂ© qui ne dura qu'une seconde puis rĂ©ussit Ă se faire une semblant d'idĂ©e sur le pourquoi elle Ă©tait lĂ . Elle Ă©tait venu jouer d'un instrument de musique qu'une des deux femmes savait trĂšs bien utilisĂ© puis l'homme aux ailes Ă©tait venu la voir en causant toute une commotion auprĂšs des autres personnes prĂ©sentes. Il faisait peur Ă la femme avec l'instrument de musique mais pas Ă la seconde qui semblait dĂ©terminĂ©e Ă lui casser la gueule au sens propre du terme. Ensuite la bĂȘte poilue qui grognait devant elle face Ă l'homme oiseau Ă©tait au dĂ©part un homme qui avait tentĂ© d'attaquer ledit homme oiseau sans grand succĂšs, s'attirant les foudres de la jeune femme au violon qui semblait tenir Ă cette seconde de rĂ©flexion, elle s'assit lentement par terre, le dos contre le mur, ignorant les personnes autour ou leurs rĂ©actions, qu'avait-elle Ă en faire de toutes façons. Elle chercha alors encore dans les souvenirs des deux femmes et vit qu'elle Ă©tait Ă Paris, une grande ville... elle chercha immĂ©diatement ce que voulait bien pouvoir dire une ville et cueillit quelques concepts dans les souvenirs parfois clair de la jeune femme au violon, Sunie, ainsi se faisait-elle appeler puis dans ceux plus nĂ©buleux, incomplets et emplis d'Ă©motions noires de Liliana, l'autre femme. Une seconde passa pour toute la durĂ©e de ses recherche, mais qu'est-ce qu'une seconde pour elle, qu'est-ce que cela reprĂ©sente vraiment pour son esprit troublĂ© par l'absence de tout souvenir ou premiĂšre fois elle regarda autour d'elle et vit d'Ă©tranges choses qui soutenaient d'autres choses tout aussi Ă©tranges que deux ou trois personnes calmes portaient Ă leur bouche. Comme les fois prĂ©cĂ©dant elle chercha dans les souvenirs de ses deux jeunes femmes et trouva ses rĂ©ponses, une table et un verre, apparemment des choses banales qui Ă©taient construites pour un but utilitaire. Mais qui Ă©tait-elle?Pourquoi Ă©tait-elle?OĂč?Pourquoi...hrp, dĂ©solĂ© pour le dĂ©lais, des Ă©vĂšnements dans la vie rĂ©elle m'ont volĂ© mon inspiration pour un temps hrp VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1247 Lorsque le valkadavre se mit Ă battre de ses ailes dĂ©charnĂ©es, La fumĂ©e se retira lentement. Bien conscient que câĂ©tait la pire des choses Ă faire, Vigo se retourna pour voir si Sunie Ă©tait toujours lĂ . Personne ne pouvait savoir en cet instant Ă quel point il Ă©tait soulagĂ© de la voir sâasseoir contre un mur. Elle semblait totalement perdue mais au moins Ă©tait-elle en vie. La pression de lâadrĂ©naline redescendit dâun coup dans les veines de lâhomme Ă la vue du magnifique corps de sa chĂšre et tendre intacte. RassurĂ©, il fit un bond pour se tenir de nouveau face Ă lâoiseau mal faisant et grogna lorsquâil parla. Une fois que son adversaire eu terminĂ©, Vigo se dressa de toute sa hauteur et rĂ©pondit dâune voix rauque, grave et gutturale Ă la limite du grognement. Je ne suis pas plus une erreur de la nature que toi. Je suis un Luna et toi un Valkar. Seulement tu nâes quâun chienchien enragĂ© Ă la botte de ton maitre prĂšs Ă commettre des atrocitĂ©s pour tâattirer les gratitudes dâun ĂȘtre qui te tient en laisse. Un Valkar vient en aide aux faibles, il ne les attaque pas. Ton maitre nâest pas un Dieu qui a le droit de dĂ©cider de la vie des autres. Sâil veut Sunie il lui faudra me tuer mais cela lui coutera la vie. De mĂȘme pour toi ose seulement lâeffleurer et je rĂ©duirais ton squelette en poussiĂšre pour ensuite emballer le tout dans tes ailes en lambeau. Quiconque approchera Sunie avec des intentions nĂ©fastes apprendra ce quâest la colĂšre dâun loup-garou. »Comme pour confirmer ce quâil venait de dire, Vigo empoigna une table quâil lança en direction du valkar de toute sa force. Autant dire que si le piaf nâarrivait pas Ă lâesquiver, il se retrouvera projeter contre le mur du fond dans lequel il finirait incrustĂ©. Joli tableau en perspective. A lâinstant mĂȘme oĂč il eu lancĂ© ladite table, Vigo se tourna vers sa dulcinĂ©e et lâattrapa avec son Ă©norme patte gauche. Il avait Ă peine attrapĂ© la jeune femme quâil plongea son regard dans celui de Sunie et quâil lui dit rapidement Ne tâen fais pas ma Sunie, je vais te sortir de lĂ . »Surement put-elle voir dans lâor de ses yeux la sincĂ©ritĂ© de ses mots et lâamour quâil avait pour elle, mĂȘme en cet instant ⊠sâĂ©lança alors Ă une impressionnante vitesse au vue de sa masse pas loin de 800 Kg vue sa taille en direction de la cuisine. Ainsi il pourrait fuir par la porte de derriĂšre sans avoir Ă tourner le dos au valkar. Si le valkadavre se plaçait devant lui, il goutterait de sa patte et de ses griffes dont un seul coup lâenverrais assurĂ©ment voler sur prĂšs de dix mĂštres. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIĂRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1838 Thilix dormait dans le fond de l'ange cornu et tout le raffut l'avait rĂ©veillĂ© mais il aimait la scĂšne qui se passait devant lui, une bataille Ă©tait imminente c'Ă©tait sĂ»r puis ça Ă©clata, le Luna Ă©tait en furie, le Valkar sur ses gardes, il adorait regarder les combats comme dans le ColisĂ©, ça lui rappelait le bon vieux temps ou il Ă©tait une des attractions prĂ©fĂ©rĂ©e de tous. Puis sa vodka se renversa Ă cause de toute l'action, ce fĂ»t la pire erreur qu'ils avaient pu faire depuis le Pourriez-vous sortir? Moi pas vouloir dĂ©truire endroit ici, toujours ĂȘtre confortablement installĂ© et autres immortels pas faire chier moi mais si vous faire conneries dans cette place moi ĂȘtre obliger de sĂ©vir. Et quand moi ĂȘtre fĂącher moi pas ĂȘtre gentil gentil. Toi homme aux ailes, doit savoir ça! Et moi me foutre de tes griffes! Parce que toi pas ĂȘtre assez puissant contre moi! Alors moi ĂȘtre gentil aujourd'hui et demandez gentille ment, mais une seule fois, aprĂšs c'est le dĂ©sastre!Il regarda Cypher un moment puis maintenant la bĂȘte qui Ă©tait Ă©norme puis se retourna s'asseoir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 7 Mar 2010 - 1831 Cypher entendant la voie, du Sadizar qui l'avait battu, resta de marbre. Il avait un Loup Garou or en face de lui. "Tu gaspille ton talent Luna, tu est comme ceux de ta race territoriale et bestiale. Je te conseille de me remettre la fille, avant que ce combat ne soit nĂ©faste pour nous deux. Tu va essayer de me tuer ? Tu ne ressortira pas indemne de ce combat. Je peux te le jurer. Mon maĂźtre veux que je l'amĂšne Ă lui. Ses intentions, je m'en balance. Puis le lycan, propulsa vers lui une table. Le Valkar, esquiva avec cĂ©lĂ©ritĂ©, le projectile improvisĂ© avec aisance et Ă plus de 50km/h, propulsa son corps Ă la poursuite du Loup. Il lui laissa nĂ©anmoins assez d'avance au Luna pour le laisser sortir par la porte de derriĂšre. Lorsqu'il furent a l'extĂ©rieur, il envoya en direction du Garou un coup de faux, allongeant la lame de celle-ci afin qu'elle lui tranche, derriĂšre les genoux. En utilisant une vitesse surhumaine et une prĂ©cision critique. Il voulait que le Loup Garou, tombe Ă la renverse. Le combat n'Ă©tait pas terminĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 924 Le sadizar pouvait bien tenter quelque chose mais mĂȘme puissant comme il l'Ă©tait, si Vigo le percutait dans sa course il pouvait ĂȘtre sĂ»r d'avoir au moins le souffle coupĂ©. Mais le loup-garou n'en avait cure, il filait vers la porte qu'il ne prit mĂȘme pas la peine d'ouvrir, passant au travers comme s'il eu s'agit d'une tapisserie. Elle vola en Ă©clat qui se dispĂšrsairent un peu avait fait une dizaine de pas lorsqu'une trĂšs forte douleur le prit au genou gauche, genou qui cogna le sol, devenu faible. Pour le coup, le valkar allait vraiment avoir des problĂšmes. Vigo poussa un hurlement de rage et de douleur tellement monstrueux que tous ceux qui l'entendire durent sentir tous les poils de leur corps se fermemant Sunie contre lui, il usa de sa jambe droite pour sauter de deux bons mĂštres vers la feau qu'il empoigna de sa patte qu'il eu refermĂ© ses griffes sur le manche, il usa de toute sa force pour propulser le valkar contre un mur oĂč il espĂ©rait qu'il s'Ă©craserait. ImmĂ©diatement aprĂšs, il parti aussi vite que possible pour ramener Sunie chez lui afin qu'elle soit en lieu sĂ»r."Je ne t'abandonnerais pas Sunie, mĂȘme si je dois en mourir." CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 1833 Bordel... Son coup avait marchĂ©. Cypher fut propulsĂ© vers l'arriĂšre, intelligent le bestiaux. Cependant Voyant la force extrĂȘme dont disposait le Luna, le Valkar n'eu hĂ©las pas la vitesse d'esprit pour rĂ©agir aussi vite que lui. Il fut propulser directement sur le mur de l'Ange Cornu. Le corps de Cypher s'enfonça de quelques millimĂštre dans le mur. Le coup n'avait pas vraiment sonnĂ© le Valkar... Qui reparti aussitĂŽt Ă la poursuite du Luna. Son but Ă©tait de rĂ©cupĂ©rer le colis... en vu du Luna, avec sa vitesse surhumaine, il propulsa en sa direction ses deux dagues en visant une fois la gorge et la seconde fois le jambes. Avec la grande vitesse ou ce dĂ©plaçait la bĂȘte... il lui serait trĂšs facile avec cette douleur d'ĂȘtre dĂ©sĂ©quilibrĂ©. De toute façon, un seul dart de son maĂźtre et l'immortel Ă©tait Ă terre. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 13 Mar 2010 - 052 Elle ne bougea pas durant tout ce temps, Ă quoi bon rĂ©agir, pourquoi rĂ©agir, elle ne faisait que se faire transporter dans les pattes d'une loup gĂ©ant et un homme ailĂ© semblait vouloir quelque chose. Ătrangement, cela n'avait rien d'Ă©trange pour elle, aprĂšs tout, qu'en savait-elle. Elle laissa donc le loup la prendre et faire ce qu'il voulait pendant qu'elle cherchait encore Ă comprendre ce qu'elle Ă©tait ou qui elle Ă©tait dans les souvenirs des deux femmes qu'elle semblait connaitre comme si elle avait Ă©tĂ© l'une d'elle a un moment puis l'autre ensuite. Puis le gros loup lui parla, il l'appela Sunie, comme la jeune femme qui savait jouer du violon, Ă©tait-elle celle-lĂ alors? Mais dĂšs que cette pensĂ©e vint Ă son esprit elle la rejeta, comment pouvait-elle ĂȘtre cette Sunie si elle en possĂ©dait les souvenirs mais rien d'autre. Elle ne rĂ©pondit donc pas au loup, ignorant en dĂ©duit donc qu'il devait la prendre pour une autre, peu-ĂȘtre que les deux femmes dont elle avait les souvenirs Ă©taient des jumelles et que sa jumelle Ă©tait cette Sunie... Puis elle se ramena Ă l'ordre, elle cherchait une rĂ©ponse lĂ oĂč il n,y en avait peut-ĂȘtre pas, mieux valait ne penser Ă rien et attendre que les gens lui expliquent ce qui se passaient. Puis elle se rendit compte que plus elle fouillait les souvenirs des autres et utilisaient leurs concepts plus elle arrivait Ă comprendre ce qui l'entourait. Elle profita de la cohue pour fouiller plus profondĂ©ment dans les souvenirs des deux femmes apparemment opposĂ©es. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 959 MalgrĂ© sa blessure, Vigo avançait vite, trĂšs vite. Pour soulager sa patte blessĂ©e, il s'Ă©tait baissĂ©, usant de sa patte avant droite. Coup de chance, il vit une dague passĂ©e lĂ ou sa tĂȘte se trouvait une demi-seconde avant. Il sentit en revanche trĂšs bien la seconde lui percer la bruit qui suivit fut un mĂ©lange de chute sourde et de grognement. La lame l'avait dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et il avait juste put faire une vrille pour ne pas tomber sur Sunie, la collant contre son ventre il s'Ă©crasa sur le dos. Il savait qu'il pouvait continuer et encaisser encore nombre de blessures du fait de son imposante carrure, mais la prioritĂ© Ă©tait de protĂ©ger sa belle. Une idĂ©e lui vient alors Ă l'esprit. Elle valait ce qu'elle valait, mais autant se mit Ă hurler de façon Ă ce que sa voix porte jusque dans l' SUNIE EST L'AMI DE VILYA ET CE VALKAR UN DEMON QUI LUI VEUT DU MAL! AIDEZ MOI A LA PROTEGER JE VOUS EN insupportable de devoir presque supplier ainsi, mais comme c'Ă©tait pour SA Sunie, il pouvait mettre son honneur dans sa se releva alors et retira la dague de sa cuisse avant de la propulser de toutes ses forces vers le valkadavre. Il baissa la tĂȘte vers la jeune femme et dans un souffle, il lui effleura le front de son gros il se mit en position debout, parĂ© au combat Ă mains nues. Sur ce terrain, lĂ , il avait fois en ses capacitĂ©s et le valkar aurait du soucis Ă se faire. Il se mis en position dĂ©fensive, en attente que l'autre attaque, colant Sunie contre jeune femme Ă©tait relativement bien protĂ©gĂ©e des potentiels coups puisque contre le ventre doux et chaud du loup-garou et enroulĂ©e dans la massive et puissante patte de Cypher venait attaquer, il se ferait trĂšs gravement amocher par les puissant coups de pattes et de griffes que distriburait seule chose pire qu'un Luna en colĂšre, c'est un Luna dĂ©fendant sa compagne. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIĂRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 1023 -HAhahaha! Ăa fait bien longtemps que moi pas avoir battus! Au moins 2 heures! Pourquoi pas!?Puis le grand Thilix sortit de la place et s'avança tranquillement jusqu'au cadre de porte pour regarder la bataille et savoir quel bord prendre, parce qu'un bord perdant n'est jamais intĂ©ressant selon lui. Il ne s'Ă©tait pas du tout rendu compte d'Aemon qui attendait lĂ -bas tranquillement et non plus de tout cette merde qui l'entourait, c'Ă©tait encore cette sorte de crĂ©ature qui avait essayer de tuer son amour, mais il y avait cet homme qui avait appelĂ© son nom, qui Ă©tait-ce? Il n'en avait aucune idĂ©e mais il Ă©tait massif et si il mourrait il pourrait rĂ©cupĂ©rer les os et... Mais en mĂȘme temps il Ă©tait dĂ©chirĂ© par le choix de tuer Cypher qui avait quasiment assassinĂ© sa bien-aimĂ©e. Il restait lĂ et ne disait plus un mot. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 Mar 2010 - 1242 Cypher resta de glace, il recula de quelques mĂštres lorsque son attaque rĂ©ussit. Il ne voulait pas risquer, une attaque du Luna. MalgrĂ© son ossature de mĂ©tal, les griffes des Luna Ă©taient capable de trancher des mĂ©taux, donc... pas vraiment conseillĂ© d'en recevoir les coups. Sa cĂ©lĂ©ritĂ© lui permettrai d'esquiver de nombreux coups mais il n'en suffit que d'un dague fut propulsĂ© Ă une vitesse excessive en direction de Cypher. Il Esquiva de justesse sa propre dague, qui termina sa trajectoire sur le mur. Lorsque Cypher entendit le Fauve hurler Ă l'aide, il n'Ă©tait pas trĂšs Ă l'aise. Que Thilix, un Sadizar puissant viennent aidĂ© une Luna ? Ce-lĂ tiendrais de la fable. De plus comment le Luna avec pu savoir que Thilix et Vilya Ă©tait ensemble ? Encore une fois le nom de Vilya rĂ©sonna dans sa tĂȘte, comme une mine d'un temps passĂ© qui explose au moment ou on ne s'y attend pas. Il ramassa sa faux. " Tu manque de courage Luna ? Tu appel Ă l'aide ? Remet moi la fille. Mes ordres, ne sont pas de te faire la peau. RĂšgle tes comptes toi-mĂȘme. Ta mĂšre ne sera pas toujours derriĂšres toi. Garde ta fiertĂ© de mĂąle."Il posa sa faux sur ses Ă©paules et attendit."Tu ne peux rien faire, Luna. Ta bien-aimĂ© est bien trop prĂ©cieuse Ă nos yeux. Elle sera traquĂ© toute sa vie, par les immortels aussi bien que par les mortels. Tu lui Ă©viterait bien des tourments, si simplement tu nous la remet sans faire d'histoire. D'autre que nous viendrons... jours aprĂšs jours, la meilleur chose que tu a Ă faire c nous la donner. Je te garanti, qu'elle sera traitĂ© avec dignitĂ©. Tu semble ĂȘtre un Luna puissant, sert toi de ta sagesse au lieu de tes muscles."Le ton de sa voie avait changĂ©, formulant les mots de maniĂšres normale. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Comme jadis... Comme jadis... Page 1 sur 2Aller Ă la page 1, 2 Sujets similaires» Comme c'est beau les champs...Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumImmortel Paris L'Ange-CornuSauter vers